Témoignages: Sclérose en plaques
Une dame souffrait de sclérose en plaques depuis huit ans. Elle souffrait d’une immobilité du bras droit, de gonflements abdominaux accompagnés d’incontinence, d’un prolapsus du rectum, d’une difficulté à avaler et d’un poids excessif. Au bout de deux séances, l’abdomen était moins important, et le sujet contrôlait ses mictions. Au fil du temps, son organisme devint plus équilibré, et les symptômes diminuèrent d’intensité. Constatant les bénéfices qu’apportait la réflexologie, la patiente poursuivit le traitement, à intervalles réguliers, pendant environ un an.
Sinusite
Une femme d’une trentaine d’années souffrait d’une sinusite depuis un an. C’est le matin qu’elle se sentait le plus mal : elle avait le nez bouché, les yeux larmoyants et des maux de tête. Si elle se mouchait, elle avait des saignements de nez. Elle était également exposée à des infections de l’oreille et avait, dans le passé, présenté des troubles des bronches. Lors de la première séance, les pieds s’avérèrent très sensibles, notamment au niveau des zones-réflexes correspondant à la tête, à la face, au cou, aux sinus, aux trompes d’Eustache, aux yeux, au foie, à l’intestin grêle, au côlon, à la valvule iléocæcale, aux reins, aux glandes surrénales, au plexus solaire, au cœur, aux ovaires et à l’utérus. À la fin de la séance, la patiente, très relaxée, sentait qu’elle avait les sinus plus dégagés. À la séance suivante, elle indiqua quelle s’était sentie fatiguée après le traitement et que, dans la semaine, elle avait eu moins de problèmes de sinus. L’intervention d’un réflexologue se poursuivit pendant six semaines. Au cours de cette période, la jeune femme se sentait beaucoup mieux dans sa peau et disposait d’un surcroît d’énergie. Au moment de ses règles, elle n’avait pas éprouvé la douleur qu’elle ressentait les deux premiers jours habituellement ; la menstruation était aussi plus régulière, avec un cycle de quatre semaines, au lieu de six ou même plus. La patiente précisa aussi quelle dormait mieux, avait perdu du poids et était capable de se concentrer pendant des périodes plus longues. Au bout de six séances, les zones- réflexes du pied étaient nettement moins sensibles ; toutefois, elle ressentait encore une légère impression de « granuleux » dans les zones des sinus.
Affections de l’œil
Une dame sexagénaire souffrait de sécheresse oculaire depuis deux ans, à la suite d’une conjonctivite grave ; elle devait donc recourir à des gouttes. À la première séance, il fut constaté une sensibilité de certaines zones-réflexes : celles correspondant à l’hypophyse, au cou, à la colonne vertébrale, aux épaules, aux yeux, aux sinus, aux reins et aux glandes surrénales. Lors de la deuxième séance, la patiente indiqua que, depuis la précédente, elle n’avait pas eu besoin de ses gouttes oculaires et que les sécrétions lacrymales s’étaient réenclenchées, à son grand étonnement et à sa grande joie. Le traitement se poursuivit pendant sept semaines : pendant cette période, le sujet ne connut plus de problèmes d’yeux, et son état de santé général s’améliora également.
Une dame traitée pour un problème au pied constata que non seulement elle était soulagée de cette affection, mais que, de surcroît, sa vision s’était améliorée au point qu’elle n’avait besoin de ses lunettes qu’en de rares occasions.
Affections de l’oreille
Un homme souffrait d’acouphène (perception de bruits anormaux) depuis plusieurs années, ainsi que d’une surdité de l’oreille droite. La première séance révéla une sensibilité d’un certain nombre de zones-réflexes : hypophyse, cou, oreilles, trompes d’Eustache, sinus, poumons, colonne vertébrale, reins et glandes surrénales. À la deuxième séance, le patient indiqua qu’il avait beaucoup toussé pendant la semaine précédente, ce qui lui avait permis d’expulser du mucus en abondance, mais qu’il n’avait constaté aucun changement au niveau des oreilles. Au cours de ce deuxième traitement, alors que les pieds présentaient encore des zones sensibles, les pulsations augmentèrent dans les oreilles. À la troisième visite, le sujet précisa qu’il s’était senti nettement mieux, mais que la toux persistait. Au bout de neuf séances, les bruits avaient disparu, ainsi que la toux. Il apparut alors que les bruits perçus pouvaient avoir une relation avec un encombrement des sinus et des poumons, dont le dégagement avait permis de soulager les troubles de l’oreille. L’audition ne s’était pas améliorée, car la surdité avait été provoquée par une lésion.