Ivg
Même si la meilleure façon d’éviter d’avoir à demander une interruption volontaire de grossesse (avortement) est d’avoir une contraception (à long terme ou d’urgence) en vigueur, des accidents se produisent. Ainsi, près de 210.000 avortements sont pratiqués chaque année. Droit fondamental pour les femmes, l’avortement n’est plus considéré comme un crime, mais il reste un chemin difficile, à la fois physiologique et psychologique.
IVG ou interruption volontaire de la grossesse
L’interruption volontaire de la grossesse (IVG) est « l’expulsion avant terme, provoquée, de l’embryon ou du fœtus ». Dans le langage courant, le mot « avortement » est plus utilisé. Il faut faire la différence avec l’expression « fausse couche » qui désigne un avortement spontané. La pratique de l’IVG est restée longtemps clandestine, mais à l’heure actuelle, presque partout dans le monde, des lois ont été votées pour la réglementer.
Quelles sont les méthodes d’IVG ?
La méthode classique est l’aspiration, qui peut être pratiquée jusqu’à douze semaines de grossesse. L’intervention est courte, dix à quinze minutes ; elle se pratique sous anesthésie générale. La jeune femme reste hospitalisée quelques heures sous surveillance (huit heures environ).
IVG selon la loi française
La pratique de l’IVG est restée longtemps clandestine, mais à l’heure actuelle, presque partout dans le monde, des lois ont été votées pour la réglementer.