Engendrer du positif avec l'approche Kinésiologique
Faire des choix, ancrer un objectif positif en début de séance, tout cela fait partie de notre capacité à tendre vers un but positif dans notre vie.
Sans cette détermination, les programmes par défaut que nous portons s’expriment en toute liberté !
Lorsque nous empruntons un chemin dans la campagne, nous laissons une trace à force d’y passer, l’herbe se couche et va jusqu’à ne plus repousser. Dans notre fonctionnement, nous l’avons vu, nous prenons des chemins répétitifs sans y penser. On peut dire que ces chemins sont tracés en nous. A la moindre alerte, nous les prenons « naturellement ». Ce sont nos schémas, ils sont issus de nos peurs, de nos traumatismes, de notre éducation et de nos ancêtres. Comme ce naturel est inconscient, nous prenons le chemin automatiquement sans nous en rendre compte ; dès lors, le même schéma peut nous sauver ou nous enfermer.
Lorsque nous choisissons consciemment un autre chemin, nous donnons de moins en moins accès à l’automatisme issu du passé, et l’herbe repousse, peu à peu, d’autres chemins s’ouvrent, plus diversifiés. Nous avons acquis la capacité de recul !
Un des atouts majeurs de l’approche kinésiologique est de libérer le passé, certes, mais aussi de poser des objectifs positifs et clairs pour notre futur. Nous ne sommes plus en train de positiver en surface pendant qu’au fond nous restons pessimistes et insécurisés. Les objectifs après une séance sont puissamment ancrés en nous lorsque le poids du passé et les automatismes inconscients sont levés.
L’expérience douloureuse est assimilée et digérée, elle nous a enfin nourris positivement. La charge est partie en nous laissant plus riches et plus stables.
Lorsque nous sommes touchés ou affectés, la réaction première est de bloquer un espace de vie en disant : « On ne m’y reprendra plus ! » Dans ce cas, l’expérience reste une zone inconfortable qui peut amener des attitudes de méfiance, de colère, de manque d’estime de soi… Mais elle ne nous construit pas sereinement en nous rendant plus éveillés, plus attentifs, plus pertinents dans notre écoute, plus intuitifs tout en nous respectant dans nos vulnérabilités, nos défauts et nos qualités.
L’intérêt des séances est d’amener à l’assimilation et à la digestion de l’expérience (aussi douloureuse soit-elle) pour avancer sereinement vers le futur.
L’histoire de la mémoire de l’eau
Masaru Emoto* est un chercheur japonais passionné par l’eau. Sa découverte ?
Il a eu l’intuition de photographier des cristaux de glace formés à partir d’eau de différentes provenances. Il s’aperçoit que la perfection des formes obtenues varie en fonction de la pollution de l’eau utilisée.
Dans ses parutions, Masaru Emoto montre des photos pour illustrer ses propos. Elles sont tout à fait étonnantes, elles démontrent combien l’eau est sensible à son environnement et surtout comment elle peut « enregistrer » des informations. Par exemple, l’eau de source de montagne a dévoilé dans sa structure cristalline de beaux modèles géométriques. Par contre, l’eau polluée des zones industrielles ultra-peuplées s’est cristallisée en glaçons déformés, aléatoires et disharmonieux. Ces travaux confirment que l’eau réagit donc à toutes les informations, positivement ou négativement. C ’est pourquoi Émotion sous-titre son ouvrage : Le message de l’eau nous invite à regarder en nous. Emotion est allé encore plus loin, car il met en évidence que tout est énergie. Les paroles, les mots, les sentiments, et même les pensées, influencent l’eau.
Voici l’une de ses étonnantes expériences : il fait cuire du riz, il le répartit dans deux pots, sur l’un il écrit le mot « Merci », sur l’autre le mot « Idiot ». Après plusieurs semaines, il regarde le résultat : dans le premier pot, le riz est intact, légèrement fermenté ; dans l’autre, où il a apposé le mot « Idiot », le riz est pourri. Des centaines de personnes ont renouvelé chez eux cette expérience et ont constaté le même résultat. Le phénomène est concluant, la simple vibration d’un mot contribue à modifier la caractéristique de l’eau.
Je fais un lien entre l’estime de soi, le respect de soi et la sensibilité de l’eau. Ainsi, si nous ne nous estimons pas, si nous parlons de nous en nous traitant de nuls, de cloches, si nous pensons de nous que nous ne valons rien, que ce que nous faisons est sans valeur, nous sommes pollués par nos propres réflexions. Avec les recherches d’Emoto, cela prend du sens, car nous sommes composés à 80 % d’eau qui se modifie en fonction de ce que nous faisons, de ce que nous disons et des pensées que nous émettons.
- La conclusion est simple, puisque nous sommes constitués à plus de 80 % d’eau, nous sommes sensibles aux rayonnements électromagnétiques, à la musique, à l’énergie des mots, des formes et des pensées !
J’ai choisi de citer les expériences très intéressantes de Masaru Emoto, car il me semble que l’approche kinésiologique doit avoir pour objectif premier d’aider l’individu à vivre mieux en comprenant à quel point sa relation avec lui-même est importante : pour sa propre vie mais aussi pour les gens et la nature qui l’entourent.