L'adaptogenèse
Le terme Adaptogenèse veut dire, générer, restaurer, développer l’adaptation.
Comment ?
Voici l’explication qu’en donne Francis Vieules :
« Nous nous centrons sur certaines sources du bien-être et de la santé comme : l’équilibre postural, l’équilibre énergétique, l’équilibre acido-base, l’équilibre nutritionnel, l’équilibre émotionnel, etc… Pour ce faire nous reprenons à notre compte certains principes, certaines lois déjà bien établies dans d’autres disciplines comme la chiropractie, l’ostéopathie, la posturologie, l’acupuncture, la naturopathie mais … avec une approche totalement différente. C’est-à-dire que nous nous référons à un modèle éducatif et non thérapeutique.
Même si nous n’avons pas recours aux mêmes techniques de corrections, nous nous réapproprions la plupart des grandes notions, développées et parfaitement validées par ces autres modèles. »
« De mon point de vue, beaucoup trop de praticiens en Kinésiologie, sont persuadés que le point de départ de nombreux déséquilibres que nous rencontrons en pratique quotidienne est d’origine essentiellement psycho émotionnelle. Il suffirait, alors, de faire des libérations de stress émotionnel et de donner un sens au symptôme ou la difficulté pour que ce dernier disparaisse. Bien que parfois cela fonctionne, la plupart du temps il nous faut tenir compte d’autres paramètres. Le dérèglement d’un capteur postural, des pollutions électromagnétiques, une subcarence en vitamine ou oligoélément, le besoin d’un drainage émonctoriel, une acidóse tissulaire … ainsi que des dizaines d’autres paramètres qui sont aussi à prendre en considération. Sinon cela peut faire obstacle à un équilibrage de qualité ou conduire à une multiplication de séances improductives. C ’est pour cela qu’en Adaptogenèse, nous avons une grande panoplie de corrections au niveau postural et que nous encourageons les futurs praticiens à collaborer étroitement avec d’autres intervenants. »
L’Adaptogenèse semble avoir développé une vision plus synthétique sans être pour autant tombée dans le piège du syncrétisme. Ce qui fait sa force c’est, d’une part, une grande stabilité dans le temps des corrections effectuées et d’autre part, l’extraordinaire précision et pertinence des émotions associées à chaque déséquilibre.