Définition du diabète insipide
la post-hypophyse est située en arrière de l’antéhypophyse. Ce n’est pas une glande en soi, mais s est constituée de terminaisons nerveuses des neurones provenant de l’hypothalamus, s terminaisons comportent des granules sécrétoires contenant ocytocine et vasopressine – ou (ADH).
Objectif
Préciser les caractéristiques cliniques et biologiques du diabète insipide et les rattacher à leurs mécanismes physiopathologiques.
Interpréter l’épreuve de restriction hydrique et classer le diabète insipide.
Définition du diabète insipide
Le diabète insipide se définit comme un déficit de la sécrétion (diabète insipide central) ou a réponse rénale (diabète insipide néphrogénique), de l’hormone antidiurétique : – ou vasopressine). Le diabète insipide est caractérisé par une polyurie hypotonique définie une diurèse supérieure à 3 litres / 24 heures, ces urines sont très diluées. De la polyurie une polydipsie qui est donc dite secondaire (le patient boit pour compenser les pertes
Rappel physiologique du diabète insipide
• synthétisée par l’hypothalamus au niveau des N.S.O / NPV (noyau supra optique ventrîculaire) est stockée puis libérée par la posfchypophyse, Sa fonction est de permettre -absorption facultative de l’eau dans les parties(Les s plus distgies-dy néphron, en particulier le
tecteur. Elle est régulée par les modifications de rosnr>olaiité plasmatique et du volume
• – Le cortisol et le facteur anti-natriurétique (ANF) sont des inhibiteurs de l’ADH.
La régulation osmotique
Les osmorécepteurs sont localisés tout près du troisième ventricule et donc des noyaux para- r rc. aires et supra-optiques. L’action de l’ADH se fait via l’AMPc au niveau du rein et intervient ri a sensation de soif et donc dans le bilan hydrique. La sécrétion d’ADH est ainsi maximale . Le variation minime de l’osmolalité plasmatique (1%) (VN = 270 – 295 mosm/kg d’eau) et sensation de soif apparaît. L’apport hydrique qui en résulte est alors suffisant pour prévenir augmentation supplémentaire de l’osmolalité plasmatique.
La régulation volumique
Se fait grâce à des volo-récepteurs situés au niveau de l’oreillette gauche, artère carotide et aorte. : l’agit alors via le récepteur Vi. Ces récepteurs sont sensibles à toute baisse de la volémie ou a PA. Ce qui entraîne une stimulation rapide de l’ADH qui se maintient jusqu’au retour à la normovolémie.
Clairance de libre
Elle permet de quantifier l’action de l’ADH : CH20 = V(l- osmU) (V = débit urinaire / mn)
Chez le sujet normal, CH20 est constamment négative. En cas de déficit en ADH ou de son action : OsmU U (urines diluées hypotoniques), osmU’) < 1 et la clairance devient alors positive.
osmU .
Action biologique de l’ADH
L’ADH présente 2 types de récepteurs VI et V2, L’ADH entraîne la contraction des cellules musculaires lisses, stimulant la synthèse des prostaglandines et la glycogénolyse hépatique via les RV1. Alors que les RV2 produisent les effets rénaux de l’ADH. Le récepteur V2 est couplé à une ptGs. L’activation de ce complexe entraîne la production d’AMPc.
Etude clinique
TDD = Diabète insipide central idiopathique de l’aduite.
- Début
Brutal, souvent le patient se rappèle du jour exact du début des symptômes marqué, par une
– polyurie primaire d’abondance variable (6 I à 20 i/j), à quantifier
– Polydipsie secondaire avec besoin impérieux de boire et une préférence pour les boissons glacées. Cette symptomatologie persiste également la nuit.
- Examen physique
– L’examen est normal
– Ce SPUPD va constituer une gêne plutôt qu’une maladie pour le patient. Il n’existe pas de
signes de déshydratation tant que ie malade boit à sa volonté.
– Toutefois plusieurs facteurs peuvent modifier l’importance du SPUPD :
- Exploitation biologique
1. Courbe bcissons-dïurèse_trois jours de suite
2. Dans les urines
• Il faut regarder les urines : Elles sont claires, diluées comme de l’eau.
• La densité urinaire est basse < 1004 – 1000
• L’osmolalité urinaire est basse < 200 mosm/kg d’eau
• La clairance de l’eau libre est positive
3. Dans le sang
QsmPN= à ;a limite supérieure de la normale ~ 290 – 295 mosm / kg d’eau
– Iono sang – Nomal, en particulier il n’existe pas d’hypokaliémie
– Glycémie – Norfnale
– Créatininémie = Normale
– Phosphorémie Calcémie = Normale
– Le dosage de l’ADH :
• Est l’un aes aosages les pius aimciies a reanser et surtout a interpréter.
• A l’état normal, la concentration de l’ADH est à la limite de la détection.
• On peut donc dans des circonstances normales, ne pas trouver d’ADH détectable dans le plasma.
• Le dosage isolé n’a donc pas d’intérêt.