Une fable d'aujourd'hui
Une fable d’aujourd’hui
les réactions des femmes, je ne résiste pas au plaisir de reproduire l’intégralité d’un témoignage reçu d’une de mes lectrices. Il peut servir de fable sur les tribulations des femmes d’aujourd’hui avec leurs rides :
« Nous sommes trois sœurs : 54 ans, 56 ans et 58 ans. Je suis celle du milieu. Nous avons toutes les trois des rides d’expression très marquées, surtout autour des yeux ! Notre maman, qui a maintenant 83 ans, est très ridée et nous lui ressemblons beaucoup ! Je pense qu’il y a aussi une histoire de gènes…
Ma sœur aînée a fait un lifting à 50 ans – les yeux, la lèvre supérieure et le cou ! Ma petite sœur fait des injections de Botox depuis deux ans ! Et moi, pour l’instant je n’ai rien fait ! Quand on nous voit ensemble maintenant – c’est- à-dire huit ans après le lifting de ma sœur aînée et huit mois après la dernière injection de Botox de ma petite sœur -, on ne voit pas de différence entre elles et moi, qui n’ai rien fait. Nulle n’est mieux, ni moins bien… Nous sommes juste pareilles. J’ai même un gendre qui m’affirme que, tout compte fait, je suis la mieux conservée !!! Bon, évidemment, c’est mon gendre… peut-être ne veut-il pas me faire de peine ! Mais quelquefois, je me dis aussi qu’après tout ça ne vaut peut-être pas le coup de s’acharner à lutter contre l’inévitable… Je ne suis pas contre le fait d’avoir recours à la chirurgie esthétique ou au Botox. C’est une décision très personnelle… Une femme qui est très mal dans sa peau à cause de scs rides doit agir : pourquoi se priver de transformer momentanément sa vie si c’est devenu une obsession… Mais la vraie beauté d’une femme est une façon d’être intérieure… Ma sœur aînée ne fera plus de chirurgie (c’était très douloureux !), mais peut-être du Botox, pour se donner un coup d’éclat, de “fraîcheur” !!! Elle a aussi entendu parler de séances de laser tentantes mais très chères !
Oui, j’ai des rides et, certains jours, elles me gênent plus que d’autres… Cela dépend de mon état d’esprit du moment ! Je mets des crèmes antirides, tout en sachant qu’elles n’ont qu’un effet superficiel et ne traversent pas la barrière cutanée – mon mari est médecin généraliste… Mais elles me réconfortent et me donnent bonne conscience ! Les progrès de la chirurgie et de la médecine permettent de ralentir le vieillissement, mais rien ne fait revivre le miracle de la jeunesse ! »
Deux sœurs sur trois qui ont eu recours aux médecins pour tenter de faire disparaître leurs rides ! La proportion moyenne n’y est pas. En fait, la clientèle informée de la médecine antirides est estimée à un petit tiers de la population, et 10 % des femmes, et à peine 5 % des hommes seulement iront jusqu’au bout de leur démarche.
Vidéo: Une fable d’aujourd’hui
Vidéo démonstrative pour tout savoir sur: Une fable d’aujourd’hui