Témoignage: l'appareil respiratoire
Asthme
Une dame sexagénaire souffrait d’asthme depuis quatre ans, quand elle vint pour la première fois se faire traiter par réflexologie. Auparavant, elle avait été en très bonne santé, et il ne semblait pas y avoir de raison manifeste au développement d‘une telle affection. Les zones-réflexes des pieds n’étaient pas particulièrement sensibles, mais il y avait une légère réaction au niveau des zones correspondant à l’hypophyse, à la tête, à la ¡ace, au cou, aux poumons, aux reins et aux glandes surrénales. À mesure que le traitement se déroulait, l’affection recula, sans pour autant que les pieds ne présentent des réflexes très sensibles. Au bout de douze séances, cette dame se sentit soulagée des symptômes dont elle souffrait et était capable de marcher normalement, sans manquer de souffle ni éprouver de crise.
Un adolescent de 16 ans avait, depuis l’âge de 7 ans, des problèmes d’asthme et de rhume des foins. Il avait essayé différents traitements et régimes alimentaires, qui avaient donné des résultats mitigés. À la première séance, ses pieds présentaient de nombreuses zones-réflexes sensibles : hypophyse, cou, colonne vertébrale, sinus, yeux, poumons, plexus solaire, côlon, reins et glandes surrénales. Une sudation excessive des pieds le gênait. A la deuxième séance, les symptômes s’étaient estompés, et les pieds transpiraient moins ; toutefois, le jeune homme avait encore une voix nasillarde. Au bout de cinq séances, le nez était moins congestionné, il n’y avait pas de sifflement de poitrine, et le garçon se entait nettement mieux.
Emphysème
Une dame sexagénaire souffrait d’un emphysème qui s’était particulièrement développé au cours des quatre à cinq années précédentes. Elle avait le souffle coupé au moindre effort. Pendant le traitement, ses pieds étaient tellement sensibles sur de nombreuses zones-réflexes que le praticien ne pouvait appliquer qu’une pression très légère. Après le traitement, la patiente éprouva une sensation de picotement dans tout le corps. La première séance provoqua une amélioration considérable, puisqu’elle parvint à marcher sans perdre le souffle et à monter un escalier. Ce mieux- être se confirma au fil d’un traitement de dix séances, mais celui- ci ne permit pas de supprimer complètement l’emphysème. On notera à cet égard que la personne était fumeuse, ce qui aggravait bien évidemment l’affection et empêchait une guérison complète.
Bronchite
Un garçonnet de 6 ans manquait très souvent l’école pour cause de bronchites, de troubles des sinus et de toux sévères. Pendant le temps du traitement, qui se composa de sept séances, l’enfant fut assidu tous les jours à l’école, à l’exception d’une fois où il souffrit d’une indigestion. Il n’eut ni rhume ni toux, et la bronchite ne se manifesta pas. Ses parents indiquèrent également qu’il mangeait bien, ce qui n’était pas le cas précédemment.
Le cœur et l’appareil circulatoire
Angine de poitrine (insuffisance coronarienne)
Une dame retraitée avait eu une crise cardiaque suivie d’attaques intermittentes d’angine de poitrine. Elle souffrait également d’asthme et de constipation. Lors de la première séance, les pieds présentaient plusieurs zones-réflexes sensibles, correspondant à l’hypophyse, au cou, aux yeux, aux épaules, aux poumons, au cœur, à la glande thyroïde, au plexus solaire, au foie, a l’intestin grêle, au côlon, à la valvule iléocæcale, aux reins cl aux glandes surrénales. À la deuxième séance, la patiente était très essoufflée et ses pieds étaient très sensibles. À la troisième, elle indiqua que son problème de constipation avait connu une amélioration, qu’elle avait plus de souffle et souffrait moins de son angine de poitrine. À la fin du traitement, die se sentait nettement mieux : en douze semaines, tous les symptômes avaient régressé.
Hypertension
I lu septuagénaire se considérait en bonne forme pour son âge, s’il exceptait la tension artérielle excessive qui avait été décelée chez lui. Un traitement réflexologique composé de cinq séances, à intervalles irréguliers, lui permit d’arriver à une plus grande décontraction et à un meilleur équilibre. De ce fait, sa tension revint à un niveau normal, à la grande surprise de son médecin traitant.
Circulation sanguine déficiente
Une jeune femme d’une trentaine d’années avait, depuis l’âge de 9 ans, une mauvaise circulation sanguine au niveau des doigts. Elle avait les mains froides, les doigts enflés et une rougeur généralisée des mains. Même si ces symptômes étaient nettement accentués en hiver, ce trouble se manifestait aussi par temps chaud. Un programme court de réflexologie permit de diminuer le gonflement des doigts, et ce même en hiver. Par ailleurs, les mains étaient plus chaudes, malgré la persistance de leur rougeur.
Crise cardiaque et thrombose
Une dame âgée avait eu une crise cardiaque et une thrombose quatre ans auparavant. Ces affections avait entraîné un très mauvais état de santé chez cette femme, qui restait alitée presque en permanence et n’avait pu sortir de chez elle depuis deux ans. Lors de la première séance, on constata une faible réaction des pieds, mais ceux-ci devinrent plus sensibles au fil du traitement. De nombreuses zones-réflexes étaient crispées, mais la patiente commença à se sentir mieux et put recommencer à faire quelques pas dans son domicile. Au bout de cinq séances, elle fit une courte promenade dans sa rue et fut enchantée de l’amélioration qu’elle constata. Même après la fin du traitement, son état de santé continua à s’améliorer. Elle indiqua qu’elle avait pu aller jusqu’’aux magasins proches de chez elle et prendre un autobus pour rendre visite à sa sœur. Avant le traitement, jamais elle n’aurait cru pouvoir refaire ces gestes un jour.