Pourquoi est-ce que je grossis
Pour des causes innombrables, il nous arrive de manger trop et mal. Pourquoi prenons-nous du poids ? Les responsables sont connus, même par vous qui faites semblant de ne pas le savoir. Ce sont bien sur les graisses et les sucres. Ces deux tentateurs sont d’abord consommés avec délice, puis ils sont assimilés, pour enfin être stockés dans les cellules graisseuses. La suite nous la connaissons que trop bien et notre balance aussi!
La valeur calorique des graisses est une horreur. Elles ne devraient pas dépasser 30 % de notre ration quotidienne. Or, nous en consommons en moyenne plus de 40 %.
- Glucides 55 % de la ration totale
- Lipides 25 %
- Proteines 20 %
Les produits sucrés, s’ils sont utilisés immédiatement pour t in besoin énergétique (sport par exemple), se transforment en glucose pour nourrir le muscle. Si ces besoins énergétiques n’existent pas, une hormone appelée Insuline, fabriquée par le pancréas, conduit les sucres jusqu’aux cellules graisseuses où elle favorise leur pénétration et leur transformation en graisses. Si cette hormone vient à manquer, le sucre augmente dans le sang, c’est le diabète. Mais ceci n’est pas la fin de notre malheur. L’insuline va aussi empêcher l’organisme de puiser normalement dans ses réserves de graisses. C’est encore elle qui est responsable du redoutable « coup de pompe » qui suit l’absorption de produits sucrés.
Comment s’en sortir ? Un régime. Encore un régime me dites-vous ! Régime ne veut pas dire prison. Méfiez-vous des faux régimes qui vous font parfois perdre rapidement quelques kilos, trop rapidement et plus dure sera la reprise de poids. « Votre corps n’est pas un Yo-Yo. »
Attention aux édulcorants artificiels (Saccharine, Aspartame, Acesulfame).
Ils n’apportent pas de calories mais sont toxiques et finalement aident très peu ceux qui veulent perdre du poids. On constate dans les études que les gens ont tendance à être plus corpulents depuis l’invention des succédanés du sucre.
Petite historique de l’Aspartame
En 1980, après un second refus de mise sur le marché, le laboratoire Searle, inventeur de ce produit, soumettait de nouvelles études à la FDA (Food and Drug Administration). Ces études furent catastrophiques puisque sur 196 animaux soumis à l’Aspartame, 96 moururent d’une tumeur cérébrale.
Pourtant, sous les pressions politiques et grâce au commissaire Arthur Hayes, la FDA finit par autoriser malgré tout le produit en 1994, alors que 7000 plaintes avaient déjà été déposées. Les scientifiques ont pourtant eux aussi démontré et expliqué les effets toxiques de ¡’aspartame qui sont dus à la décomposition dans les liquides chauds et dans l’organisme de l’aspartame en Methanol qui se décompose lui-même en Formaldehyde, en Acide formique et en Diketopiperazine, 3 produits connus pour provoquer les tumeurs cérébrales. De plus, l’aspartame contient de la phénylalanine. Environ 2% de la population, porteuse des gènes qui causent la phénylcétonu- rie, n’ont pas l’enzyme spécifique pour se débarrasser de cette substance. Pour ces sujets, les risques sont grands lorsqu’ils consomment l’aspartame (épilepsie, troubles mentaux).
L’American Center Society a suivi, durant 6 ans, 80 000 femmes qui ont utilisé l’Aspartame. Ils ont noté qu’elles ont pris plus de poids que celles qui consommaient du sucre normal, qu’elles ont des instincts boulimiques dans les jours qui suivent. Ceci est dû au dérèglement pancréatique provoqué par l’Aspartame. Plus de 4000 produits alimentaires contenant de l’Aspartame, boissons, médicaments, bonbons, sont en vente avec la bénédiction des autorités.
A l’opposé, l’Islande, le 22 octobre 1999, a interdit l’Aspartame et au Canada, il est obligatoire qu’il soit notifié sur les emballages : « Peut provoquer des Cancers ».