Nutrition : Malbouffe
Quelle ironie de l’histoire : après des siecles frappés par la famine, le fléau de nos sociétés modernes est celui de malbouffe ! Jamais, pourtant, le diktat du « bien manger » n’a été aussi impérieux : de la cantine aux programmes télévisuels, les informations nutntionnelles nous envahissent. Choix, fréquences, périodes de œnsommations produits… cette propagande s’apparente a une dictature alimentaire, qui s’inscrit dans le culte actuel jeunisme et de la santé. Gare aux contrevenants: les malheureux encourent obésité, maladies cardiovasculaires diabète et autre syndrome métabolique. Peine perdue : la population est vieillissante, la sédentarité galopante et la malbouffe, généralisée.
La malbouffe ? Entendre une alimentation trop grasse, trop sucrée, trop salée et pauvre en fruits et légumes. On pense aussitôt au diabolique hamburger-frites-Coca servi à profusion dans la restauration rapide américaine. Après tout ce type de sandwich de fast-food représente un apport en nutriments (protéines, lipides glucides, vitamines et minéraux) indispensables au bon fonctionnements de notre organisme qui est équivalent à celui d’un repas constitué d une viande, de pai salade assaisonnée. En réalité, ce n’es, pas le prodn, en question, mais sa consommation récurrente qui se traduit par de la malnutrition. Car celle-ci est engendree par des déséquilibres alimentaires provenant aussi bien des excès que des carences. Ainsi, un manque d’apport en graisse (lipide) ou en sucre (peut aussi provoquer des problèmes de santé .Voila pourquoi la malbouffe frappe aussi bien les adeptes des sandwichs, des biscuits et chips que les surconsommateurs de fruits et légumes, voire les ultrarestrictifs qui ne jurent que par les produits allégé.
Nombreux sont les détracteurs du mal manger a accuser les industries agroalimentaires, qui tromperaient le client en modifiant à leur insu la composition des produits (ajout d’amidon dans les viandes hachées, de sirop, de dextrose dans le jambon). Même les consommateurs les plus vigilants pourraient en être les victimes . Dans cette société d’abondance, le seul remède consiste finalement à manger avec une sensation de faim un plaisir de reconnaissance de saveur (un yaourt doit avoir la composition nutritionnelle… d’un yaourt.) et de s’arrêter à satiété. Se sentir bien avant, pendant et après les repas est le meilleur moyen d’éviter la mallbouffe.