Nutrition et Poids
Le poids d’un individu est détermine par sa masse corporelle, laquelle représente l’ensemble des masses adipeuses, liquidienne, protéique et squelettique. Le poids, la perte ou la prise de poids sont donc fonction de révolution ile ces différents compartiments organiques.
Ces derniers, notamment la masse liquidienne, varient en fonction des mécanismes hormonaux et organiques. Le poids fluctue donc naturellement tout au long de la journée, et même d’une journée a l’autre, sans conséquence pondérale réelle. Seule une pesée hebdomadaire représente révolution positive ou négative, a condition que la variation soit supérieure à 500 g en moyenne.
En outre, le poids n’est pas exactement corrélé a un volume par la différence de densité (rapport du volume •nr un poids) de chaque type de masse organique. Pour un même volume, la masse musculaire est plus lourde que la masse grasse. Deux individus de même taille et de même poids n’ont donc pas forcement les mêmes mesures de tour de hanche, de tour de taille ou même de taille de vêtement.
De la même façon, le poids idéal n’existe pas. Le corps médical a seulement défini une norme pondérale en dessous ou au-dessus de laquelle le poids devient un facteur ile risque pour la sante. Cette nonne est déterminée par des Indices d’évaluation). S’il devait y avoir un poids idéal, ce serait alors le poids du corps obtenu naturellement
par un comportement alimentaire adapte a ses besoins. Manger avec faim, plaisir, s’arrêter à satiété conduisent a un poids « normal », lequel équivaut pour l’individu a son poids morphologique.
Le poids, le volume ou plutôt, la représentation esthétique du corps, n’est pas sans conséquence psychique et peut être un symbole de bien-être ou de mal-être lorsqu’il est inversement proportionnel a l’estime de soi.