L'ostéopathie et le sport
« La vie, c’est le mouvement, et le mouvement, c’est le sport… » Oui, mais… attention aux excès, chutes et mauvaises attitudes pouvant rendre une activité dangereuse. De nombreux sportifs se sont vus soudain contraints de stopper ou de modérer considérablement leurs activités physiques, faute de n’avoir pas écouté à temps les messages douloureux que leur transmettait leur corps.
Dans le monde contemporain, où la course à l’excellence représente notre lot quotidien, de nombreux candidats et candidates à la lésion s’agitent sur des pistes, des parcours ou dans des salles de gymnastique, de musculation, de body-building, sans tenir compte de l’état de leurs structures ni de leurs articulations. On pousse même le vice jusqu’à rechercher la douleur : « Pour que cela soit efficace, il faut que cela fasse mal », « Je m’arrête quand je me sens au bord de l’évanouissement »… et autres aberrations entendues au hasard d’un passage dans une salle de sports.
Non, le sport n’est pas synonyme de souffrance, non, l’organisme n’est pas une machine à encaisser les excès de son inconscient propriétaire : pour le sportif de haut niveau comme pour le modeste cycliste du dimanche, l’ostéopathie constitue un moyen efficace de mêler intelligemment l’effort, la forme et l’harmonie
Vidéo : L’ostéopathie et le sport
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