L'insulinotherapie
1. Evidemment le diabète cétosique (à tout âge)
2. Mais aussi le diabète déséquilibré non cétosique, s’accompagnant d’amaigrissement et d’asthénie (diabète insulino nécessitant).
3. Le diabète de l’obèse, qui malgré le régime hypocalorlque bien suivi
et les hypoglycémiants oraux, reste déséquilibré (insuljnothérapie transitoire ou » définitive – possibilité d’association à l’insuline des hypoglycérniânts’oraux).
Les contre-indications des hypoglycémiantsjaraux (en particulier l’insuffisance rénale ou l’insuffisance hépatique sévère -|a grossesse).
3. Insulinothérapie transitoire pour un équilibre glycémique parfait lors d’une infection chez un diabétique non insulinodépendant.
5. Insulinothérapie transitoire pour éviter la décompensation cétosique ou hyperosmolaire d’un diabète non insulinodépendant, lors d’une intervention chirurgicale importante, d’un accident cardio-vasculaire, d’une corticothérapie.
L.’existence de complications dégénératives (rétinopathie, gloméruiopathie, neuropathie) requérant un bon équilibre glycémique, amène le plus souvent à prescrire une insulinothérapie.