Le système endocrinien: Troubles de la thyroïde
Une femme de 52 ans avait éprouvé pendant trois semaines une douleur à l’arrière de la tête. Six semaines durant, elle avait eu un gonflement de la glande thyroïde, qui était douloureuse au toucher. À la première séance, les pieds étaient assez crispés, et certaines zones-réflexes s’avérèrent sensibles : celles de l’hypophyse, de la tête, du cou, de la thyroïde, des oreilles, du plexus solaire, de l’estomac, de l’intestin grêle, du côlon, des reins, des glandes surrénales, de l’utérus et des ovaires. En fin de séance, la patiente se sentit très relaxée. Elle subit un violent mal de tête pendant les deux jours qui suivirent le traitement, mais au début de la deuxième séance cette céphalée avait disparu et la thyroïde était moins enflée. A la troisième séance, la glande était moins sensible au toucher. Cette personne cessa le traitement au bout de cinq séances, considérant que l’affection avait disparu.
Une quinquagénaire avait subi, alors qu’elle avait entre 30 et 40 ans, une ablation partielle de la thyroïde. Elle n’avait pas eu de problèmes jusqu’à ce que, six ans auparavant, la glande ne montre une hyperactivité qui se traduisait par une saillie des yeux. Elle constata également qu’elle se sentait fatiguée et avait pris du poids, outre le fait quelle avait les chevilles gonflées. À la première séance, on découvrit une sensibilité dans un certain nombre de zones-réflexes : hypophyse, tête, face, cou, sinus, yeux, thyroïde, foie, estomac, plexus solaire, reins, glandes surrénales et lymphatiques. La patiente déclara à la deuxième séance que le traitement l’avait beaucoup fatiguée, mais que la pression avait diminué au niveau des yeux, qui étaient moins saillants ; elle avait aussi les chevilles moins enflées. La poursuite du traitement confirma une amélioration progressive de l’affection, si l’on excepte une inversion de tendance à l’occasion d’une grippe. Cette personne continua plusieurs mois le traitement, qu’elle trouvait bénéfique indépendamment de sort action sur l’affection thyroïdienne, il lui permit également de mieux traverser une période particulièrement difficile de sa vie professionnelle.
Diabète
On finit par diagnostiquer un diabète chez un retraité qui souffrait de douleurs dans les pieds et les jambes. Le traitement par réflexologie débuta deux mois après ce constat. Lors des trois premières séances, le sujet ne ressentit pas une sensibilité particulière au niveau des zones-réflexes des pieds, qui étaient froids et dont la peau était dure en de nombreux endroits. À partir de la quatrième séance, la sensibilité apparut, notamment dans les zones correspondant à l’hypophyse, au foie, au pancréas, au plexus solaire, aux reins et aux glandes surrénales. Le patient commença alors à se sentir mieux, la douleur diminuant dans les pieds et les jambes. À la huitième séance, le sujet indiqua que l’établissement spécialisé qu’il fréquentait ne jugeait plus nécessaire qu’il consulte régulièrement. Il fut traité deux fois encore par réflexologie et continua à bénéficier d’une bonne santé sans que reviennent les symptômes du diabète, moyennant toutefois une surveillance de son régime alimentaire.
Problèmes gynécologiques
Une jeune femme d’une trentaine d’années souffrait d’un déséquilibre hormonal qui provoquait des menstruations irrégulières et des troubles dermatologiques. Elle avait également des problèmes liés à une infection de l’utérus. À la première séance, il fut détecté une sensibilité dans les zones-réflexes de l’hypophyse, de la face, de la colonne vertébrale, de la thyroïde, du plexus solaire, des reins, des glandes surrénales, des ovaires, de l’utérus et des lymphatiques. À l’issue de la séance, la patiente déclara qu’elle se sentait merveilleusement bien et qu’elle avait apprécié ce massage des pieds. À la seconde séance, elle indiqua s’être sentie beaucoup mieux, même si elle avait ressenti la veille de ses règles des douleurs qui avaient disparu le lendemain, alors qu’en général elles duraient environ deux jours. Les zones-réflexes correspondantes étaient sensibles et, à mesure que le traitement se prolongeait, la jeune femme se sentait de mieux en mieux, et l’état de sa peau s’améliora. Elle reçut au total douze séances de réflexologie.
Une femme de 30 ans souhaitait être soulagée d’une dépression post-natale qui faisait suite de la naissance de son fils. Elle était sous antidépresseurs et, d’une manière générale, ne se sentait pas en forme. À la première séance, ses pieds n’étaient pas particulièrement sensibles, même si l’on observa au massage une légère réaction au niveau des zones-réflexes de l’hypophyse, de la tête, des yeux, du foie, de la vésicule biliaire, de l’intestin grêle, du côlon, du plexus solaire, de l’utérus, des reins et des glandes surrénales. À la deuxième séance, la patiente semblait très déprimée et son état ne s’était pas amélioré. Toutefois, les pieds réagissaient un peu plus. Au début de la troisième séance, elle indiqua quelle s’était sentie nettement mieux pendant la semaine écoulée et avait eu plus d’entrain. Le traitement se poursuivit pendant six semaines, période au cours de laquelle on nota une amélioration marquée, qui permit à la jeune femme de mieux affronter ses problèmes.
Une femme enceinte de douze semaines souffrait de nausées qu’elle avait déjà éprouvées pendant les deux premiers mois de grossesse et qui se poursuivirent jusqu’à la naissance. Il ne s’agissait pas uniquement de nausées, puisqu’elle était malade au moins six fois par jour. À la première séance, bien que cette personne semblât décontractée, on décela une sensibilité dans les zones-réflexes de l’hypophyse, du cou, des yeux, du foie, de l’estomac, de l’intestin grêle, du côlon, de l’utérus et de la colonne vertébrale. A la deuxième visite, elle indiqua avec grand plaisir que la fréquence de ses malaises s’était espacée. Les pieds présentaient encore des zones sensibles, et le traitement se poursuivit pendant six semaines. À l’issue de cette période, elle n’éprouva plus que des nausées qui ne débouchaient pas sur des vomissements.