L'athérosclérose de l'alimentation diabètique
Les graisses saturées apportées par les viandes, poulets, lait et laitages doivent être < â ù% du total calorique (car athérogènes). La préférence doit s’orienter vers le poisson riche en Acide Gras polyinsaturés et les huiles végétales riches en Acides Gras monoinsaturés (huile d’olive).
b. L’existence d’une hyper triglycéridémie chez le diabétique, doit nous inciter è supprimer l’alcool, a normaliser la glycémie en réduisant ‘ excès de glucides, particulièrement ceux a index Glycémique élevé et è ‘i:ure le poids.
e. Réduire l’apport alimentaire en Chlestérol au dessous de 250 ng/ 24 heures car celui-ci influe sur l’élévation du choléstotérol plasma tique.
d. Encourager l’exercice physique, qui réduit les Triglycérides et augmente le HDL Cholestérol antialthérogène.
e. Des études sont en cours pour confirmer l’effet hypotri- glycémiant des huiles de poisson (riche en acide W3- linolénique).
Assurer une alimentation équilibrée
– L’apport protéïque de 151 environ doit être limité, il est surveillé un apport de 0.8 è 1 g/kg de poids pour réduire l’hyperfiltration fïoménjlaire précoce chez le diabétique, et ménager ainsi l’avenir de la fonction rénale.
– Assurer un apport correct en Vit 612 et en Acide folique chez les r poétiques sous Bïguanides. –
– Corriger les carences ou les excès retrouvés lors des enquêtes ?ttritionneües menées auprès des diabétiques.
Adapter l’alimentation culturel
Une prescription diététique pour un diabétique constitue une accession vis è vis de ses habitudes alimentaires et de son mode de vie, Ifrtout lorsque ses moyens sont limités. Elle doit être et toujours ècèaée par une enquête alimentaire bien menée qui permet de corriger isolement les erreurs. Elle ne doit plus être une série d’interdits mais it constituer une “information » exemplaire vers laquelle le patient doit e au maximum^^_
– L’alcool doit être évité si non inclus dans la ration calorique 7 cla). H peut être responsable d’hypoglycémie).
– Les édulcorants : leur usage est permis
* le sorbitol (I.G. de 20%) peut être utilisé à titre d’édulcor.
(mais risque de diarrhée),
* Fructose : (i.G. 30~35Æ) peut être utilisé surtout oui! na P-s d’action néfaste sur le cholestérol., sur la réponse insulinémique pcs- prandiale, ou sur l’Hb. glycosylée.
– Les aliments et boissons allégés en sucre et en oraisstg sont également permis mais comme on l’a vu non indispensables.
Les indications
DID
L’apport alimentaire :
– doit participer au maintien d’un poids normal et satble.
– doit faire correspondre le pic hyperglycémioue a celui induit pan l’insuline utilisée spécifiquement parle patient.
– doit assurer des collations là où le risque d’hypoglycém-e j secondaire au type d’insuline utilisée est possible. Le diabétique ne doit jamais sauter un repas ou une collation.
– Le DiD peut se permettre parfois (lors d’une fête par exemple) î# prise d’un morceau de gateau de préférence après un repas et ne pas subir des interdits majeurs.
– 11 doit surtout éviter l’anarchie.
DNID
– il doit d’abord maigrir par une restriction calorique acceptable (fonction des apports caloriques précédants, l’activité physique, les situations physiologiques et aussi le niveau socioéconornique).
– doit respecter une alimentation protectrice contre l’athrome.
– doit tenir compte de toute pathologie associée (HTA, hyper- triglycéridémie…).