Les traitements de ménopause
Les traitements de ménopause
prescription de progestatifs du 15ème au 25ème jour du cycle ou même du 10e™ au 25eme jour d cycle pour lutter contre l’hyperoestrogénie relative : Duphaston 10 mg (progestérone naturelle) 3 Colprone 10 mg (dérivé de la 17 hydroxy-progestérone),
Discuter le choix d’un ménopause
– Les mesures hygiéno-diététiques doivent être systématiques : exercice physique, app suffisant de calcium et de vitamine D, lutte contre l’obésité et les autres facteurs de risqje vasculaire
– Les traitements non hormonaux
les diphosphonates sont actifs sur l’ostéoporose mais sont sans effet sur les signes fonctionnels.
les SERMs (modulateurs spécifiques du récepteur des estrogènes) sont des molécua capables de se comporter comme un anti-estrogène dans certains tissus cibles (endomèt; et sein) et comme un estrogène sur d’autres tissus (os et système cardiovasculaire), mai sont sans effet sur les signes fonctionnels .
– Le « THS » (Traitement Hormonal Substitutif de la ménopause)
II associe des oestrogènes naturels, du 5ème au 25ème jour du mois (oestroge! percutané a patch) à des progestatifs pour les 10 ou 15 derniers jours. Le choix est possible entre J schéma avec règles (séquentiel, avec fenêtre thérapeutique) ou un schéma sans rèç (continu)
Les indications du THS ont été réduites ces dernières années car plusieurs étu internationales ont démontré un sur-risque vasculaire et de cancer du sein chez ±. femmes traitées ; les indications du THS se limitent actuellement
Aux femmes souffrant de troubles fonctionnels intenses liés à la carence estrogénicje un THS peut alors être instauré à la dose minimale efficace et pour une durée COJI (2-3 ans en principe, jamais plus de 5 ans)
Aux femmes ménopausées ayant des facteurs de risque d’ostéoporose ~a uniquement après échec d’autres traitements.
La prescription et la surveillance du THS relèvent uniquement du spécialiste ; le s impose la pratique régulière d’un bilan métabolique (glycémies, lipides), d’a mammographie et de frottis cervico-vaginaux. Le THS est formellement contre-indiqué en cas de cancer du sein connu ou suspecté, ou d’autres tumeurs estrogéno-dépenda »a connues ou suspectées (par ex. cancer de l’endomètre).
hémorragie génitale sans diagnostic établi accident thrombo-embolique artériel récent ou en évolution affection hépatique aiguë ou chronique, ou antécédents d’affection hépatique