Se maintenir en forme : L'alchimie du quotidien
La quarantaine passée le corps ne réagit plus comme lorsqu’il avait vingt ans. Certaines douleurs se font plus insistantes ou apparaissent pour des efforts plus modérés qu’auparavant. Les grippes ou diverses infections se font plus fréquentes. La fatigue physique ou morale se fait plus sentir même si les journées n’ont pas été harassantes.
Bref, insensiblement, le corps a changé. La quarantaine en ce début de millénaire correspond à la moitié de l’espérance de vie. Cette dernière va en augmentant d’un mois par trimestre ce qui est considérable. Certaines règles simples permettent d’éviter certains accidents de terrain prévisible, d’aplanir les difficultés.
La plupart des personnes prennent soin de leur voiture, les portant régulièrement à réviser, se rendant chez le garagiste dès qu’un voyant s’allume inopinément, sont soucieux de la pollution de leur moteur, conduisent prudemment afin de ne pas abîmer leur véhicule et n’hésite pas à engager des frais lorsque la peinture ou la carrosserie est abîmée. Entretenir une voiture coûte cher mais tout de même moins que de la laisser se délabrer. Curieusement ces mêmes personnes ne font pas le même raisonnement lorsqu’il s’agit d’elles-mêmes. Elles peuvent boire de l’alcool, fumer cigarette sur cigarette, être sédentaires sans prendre conscience quelles laissent leur corps à l’abandon et que cela se paye non pas en terme d’argent mais en terme de confort de vie, de santé, de poids, de beauté et de forme.
Nous avons vu dans la première partie de l’ouvrage que ce que l’on mangeait le soir “ comptait double ” et que le poids pâtissait plus de ce qui était absorbé dans la deuxième partie de la journée. Il en va de même de la vie. Boire, manger, fumer, faire la fête porte plus à conséquence en deuxième partie de vie qu’en première.
De même que conduire ne consiste pas à garder toujours la même vitesse sans jamais tourner le volant, de même conserver sa jeunesse ne consiste pas à continuer indéfiniment ce que l’on faisait étant plus jeune nous peine d’accident, mais à adapter en permanence Non âge à ses possibilités et à entretenir le plus possible » la mécanique ”.
Comme cet ouvrage à pour philosophie de remettre les compteurs à zéro après quarante ans” nous .liions passer en revue les éléments permettant justement ce nouveau départ.
Avant de prendre la route il convient d’enlever le frein à main. Il en va de même pour l’organisme. Un des buts de cet ouvrage est d’enlever les trois freins que sont le tabac, l’alcool et la sédentarité.