Les difficultés de l'apprentissage des maladies
Le diabète est une maladie qui peut être “silencieuse «
* les signes cardinaux sont inconstants
* pas de douleur
* pas de handicap évident (on oeut avoir une rétinopathie diabétique sans diminution de l’acuité visuelle).
L’idée que se fait le malade
de sa maladie
* Suis-je à risque pour les complications diabétiques ( aiguës ou chroniques ) ?
* Ces complications menacent-elles réellement ma vie ? (physique, affective, professionnelle et sociale).
de son traitement
* Suis-je convaincu que le traitement proposé est efficace ?
* Suis-je d’accord quant au prix è payer (psychique, social et financier)
Difficultés affectives
Pour le patient, la maladie lui procure un sentiment d’infériorité et de dépendance. Il passe ainis par 5 phases dès le début de la maladie (décrite par J.P. ASSAL et coll.) :
– phase de refus
– phase de révolte éducation impossible
– phase de marchandage
(exemple l’insuline oui mais pas 2 injections)
– phase de dépression et d’espoir
– phase d’acceptation (le meilleur moment de démarrer l’éducation)
En définitive
–> L’éducation nécessite un certain réalisme comme par exemple :
– ne pas parler d’insuline au DNID ni d’ADO au DID
– ne pas parler de complications dégénératives lointaines à un sujet êgé (> 70 ans).
—> il faut être motivé pour motiver son malade.
Un exemple de programme d’éducation :
Qu’est ce que le diabète
Le diabète est un état d’hyperglycémie chronique
- La glycémie
– glycémie du sujet normal pendant 24 heures est stable è l’intérieur de valeur limite,
– stabilité due à un équilibre entre :
* apports : alimentation
* et utilisation :
+ synthèse des tissus (glycoprotéïnes)
+ énergie (glycose)
+ réserves (foie – tissu adipeux)
Pas de sucre dans les urines d’un suiet normal.
– stabilité possible grêcs aux hormones surtout l’insuline et le glucagon.
- L’insuline
* origine : pancréas – ilôts – cellules B
– devenir : passage par le foie ( une grande partie) puis les üssus
périphériques
– action : inhibe la libération sus-hépatique du glucose, favorise la
pénétratioa du glucose dans les cellules.
—> effet ftyppgycémfofit-
Favorise l‘anabolisme lipidique et protidique .
– sécrétion : après la prise alimentaire et revient à la normale lorsque la glycémie post prandiale II.
- Le diabète
C’est un dérèglement du système régulateur c’est un hyperglycémie ( = diabète).
Donc :
* déficit en insuline par atteinte du pancréas (DID)
* insensibilité des tissus à l’insuline (DN1D)
* ou les deux.
Des signes évocateurs : polyuro -polydipsie, polyphagie, amiagrissement et parfois acétonurie.
Les risques
Doivent être connus pour être prévenus .
Complications aiguës : a. Coma diabétique (DID) :
par insuffisance grave en insuline :
+ soit arrêt du traitement
+ soit augmentation des besoins (infections V++)
* le glucose ne pénétre plus dans les cellules qui utilisent alors les graisses.
—> acétone.
Donc ici, prendre des suppléments d’insuline et surveillance horaire de l’acétone. Si échec —> consultation en urgence et peut être hospitalisation.
Coma hyper-osmolaire (DNÏD)
* du aux infections
* ou à certains traitements (corticoïdes, diurétiques)
* caractérisé par une majoration des signes cardinaux et déshydratation
—> prévention de ces deux types de coma par l’autocontrôlé urinaire et sanguin et adaptation du traitement.
Complications chroniaues (dégénératives)
- Microvaisseaux :
– rétinopathie de l’acuité visuelle, cécité
– néphropathie : peut aller jusqu’à l’insuffisance rénale !
– neuropathie : douleur, mal perforant plantaire, impuissance
sexuelle.
– pas de traitement curatif
– mais traitement préventif: F.O., A.V., bilan rénal (6 è 12 mois)
– l’autocontrôlé retarde ou évite ces complications.
- hacrovaisseaux : (athérosclérose = non spécifique)
– mais plus fréquentes plus précoces et plus graves : DNID
– Insuffisance coronaire (angine de poitrine, infarctus)
– accident vasculaire cérébral (paralysie)
– artérites des membres inférieurs (risque d’amputation)
– favorisées par l’obésité, l’HTA, hyperlypoprotéïnémie, tabac Donc prévention par le malade lui-même.
Attention au pied du diébatique :
– diminution de la sensibilité
– diminution du débit srtériel : risque de gangrène et amputation
– risque d’infection et mycose
– risque de traumatisme.
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