Le sportif
Il y a lieu de différencier (¿s activités sportives de loisir, qui donnent une élévation de dépense énergétique ponctuelle, de la pratique d’un sport de compétition, et surtout la compétition. La diététique ne peut etre une sorte être un moyen de dopage. Elle permet seulement à un athlète d’être au maximum de sa puissance musculaire.
Alimenta tl0ii au cours de l’entraînement
vorishW splnn IP «pratiqué, les apports quotidiens conseillés sont d’environ 3 500 calorie oûf lcs Sommes et 2 800 pour les femmes. Il est habituel, sans preuve expérimentale, d’augmenter préfércnt.ellemcnt les apports glucidiqucs.
Les apports protéique c0nscillcs sont de 110 à 135 g par jour, avec un rapport protéines animalcs/protéincs végétales approximativement égal à 1.
Les sels minéraux et les vitamines étant apportés en quantité suffisante par les aliments, aucune supplémentation n’est indiquée. Par contre, les besoins hydriques sont ¡muants et souvent négligés, de l’ordre de 3 5 litres par jour soit 7j litre de boisson, le reste étant inclus dans l’alimentation.
Alimentation au cours de la compétition
Les besoins diffèrent selon le sport pratiqué, en fonction de l’intensitc et de la durée de l’effort. Au cours des efforts de longue durée un apport calorique mais aussi hydro-électrolytique est indispensable. Cet apport comporte essentiellement des glucides facilement assimilables. Dans les sports d’équipe (au cours des mi-temps) ou dans les sports individuels (au cours des repos) un apport d’environ 200 ml d’eau contenant 20 g de dextrose, 1 g de chlorure de sodium et 1 g de gluconate de potassium semble souhaitable.
La pratique du régime dissocié est de plus en plus fréquente lors des épreuves de longue durée.
5 jours avant la compétition, le régime est cétogène et aglucidique, et 24 h avant l’épreuve, il devient très hyperglucidique : les réserves de glyco- gène hépatique et musculaire, très augmentées, permettent une amélioration sensible des performances.
Alimentation après la compétition (récupération)
Les apports en période de récupération ont pour but de reconstituer les stocks énergétiques.
Une première phase
Dite de « désintoxication », au cours de laquelle les besoins d’épuration des déchets azotés priment les besoins de réparation, dure 24 heures et nécessite une réhydratation avec de l’eau contenant sodium et potassium et un apport réduit en protéines et en graisses. Les glucides seront apportés sous forme d’hydrates de carbone à absorption lente.
Une seconde phase
Dite de « reconstitution » de 48 h, nécessite un apport de 4 000 à 5 000 calories avec apport protidique proportionnel (près de 180 g).
A la suite de ces deux phases
c’est-à-dire 3 jours après la compétition, les besoins et les apports redeviennent ceux de la période d’entraînement.
Vidéo : Le sportif
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