La ménopause : La place de la médecine douce
Les traitements de médecine douce ne font que stimuler, on l’a vu, les défenses naturelles de l’organisme. Donc, au début, les problèmes de pré-ménopause qui se posent sur le plan psychologique ou physique, dus aux petits déséquilibres ou déficiences hormonales, peuvent être résolus par eux, du fait qu’ils stimulent les ovaires encore sécrétants.
Ainsi, des « fatigues-déprimes », des insomnies, des colites, des ballonnements avec aérophagie, des douleurs d’épaule, des torticolis, certaines douleurs de hanche, certaines douleurs vertébrales, dorsales ou lombaires, certains problèmes de peau, de cheveux, d’ongles cassants, de vue ou d’audition ainsi que certains problèmes sexuels, peuvent être traités par les médecines douces.
Très souvent, au grand étonnement des patientes, et parfois même des médecins, ces traitements permettent des doses de médicaments allopathiques très inférieures aux doses habituelles.
Mais, lorsque la ménopause est totalement installée chez la femme, c’est-à-dire lorsque, par définition, les ovaires ne sécrètent plus rien, lorsqu’il n’y a plus de règles du tout, les médecines douces ne suffisent plus… car il n’y a plus rien à stimuler, plus rien à régulariser, plus rien à réharmoniser. Là, il faut alors apporter les hormones manquantes que les ovaires ne peuvent plus sécréter. Les traitements de médecine douce permettent toutefois de mieux supporter certains dosages hormonaux.