Face à la maladie de SIDA
Les personnes atteintes du SIDA (dont beaucoup sont toxicomanes ou homosexuelles) souffrent moralement. Au désarroi qui peut les assaillir s’ajoute la perspective d’une condamnation inéluctable tant qu’aucun vaccin n’aura été découvert. Dans ces circonstances, la solidarité joue un rôle primordial. De nombreuses associations privées et des structures d’accueil administratives ont été mises à leur disposition afin de les soutenir. SI l’on ne peut encore parler de guérison, il est vital d’encourager le malade à garder l’espoir, à poursuivre sa surveillance médicale et à s’accorder tout ce qui peut maintenir une qualité de vie personnelle et morale.