Congé paternité
Le congé de paternité est un congé accordé au père après la naissance d’un enfant conçu un congé à partir du modèle du congé de maternité accordé à la mère.
En France
Le congé de paternité a été créé sous le gouvernement de Lionel Jospin et est entré en vigueur le 1er Janvier 2002.
Au cours d’une période de 11 jours calendaires (week-ends et les jours fériés sont inclus dans celui-ci), le congé de paternité est accordé au père après la naissance, en plus de trois jours obligatoires. Ce congé peut être pris à la suite de trois jours de congé de maternité ou dans les quatre mois après la naissance. Les 11 jours ne doit pas être divisée. La demande de congé doit être présentée à l’employeur au moins un mois avant. Ce congé est payé par la sécurité sociale dans le plafond de la tranche A. Ce droit existe également en cas d’adoption. Le jour qui définit le début de la période de quatre mois est l’arrivée de l’enfant à la maison.
En 2006, un couple gay, Karine et Elodie, a demandé un congé de paternité pour la personne du couple qui n’a pas été reconnue comme la mère. Le tribunal des affaires de sécurité sociale n’a pas réussi à Nantes (Nantes Tass, arrêt du 20 Mars 2006), puis la Cour d’appel de Rennes, Janvier 30, 2008.
Belgique
La loi du 10 août 2001, est entré en vigueur le 1er Juillet 2002, stipule que le père a droit à 10 jours de congé à prendre dans les 30 jours à compter du jour de la livraison, sans contrainte de contiguïté et à condition que la filiation est établie. Les trois premiers jours sont payés par l’employeur, tandis que les 7 jours suivants sont payés par la mutuelle à hauteur de 82% du salaire brut (avec un plafond de € 90,73 par jour, ajusté pour un employé à temps plein). Ce droit existe également en cas d’adoption de l’inscription de l’enfant adopté dans le registre de la population.
Enfance
Entre la conception et l’âge de 8 ans, la marque physique, affective, relationnelle et intellectuelle d’un enfant pour la vie. Une fois les besoins alimentaires et physiques a rencontré, il est avant tout l’environnement humain de l’enfant qui détermine quelles sont les options disponibles pour lui dans la vie. Au cours des deux premières années de la vie, le cerveau est littéralement ‘sculpté’ par l’environnement relationnel. Par exemple, si vous presque jamais parler de lui, un enfant ne se développera pas les connexions neuronales qui lui permet de facilement apprendre à parler. Il ne peut jamais rattraper.
Les enfants les plus vulnérables sont évidemment ceux dont les parents ont le moins de ressources matérielles et sociales. Par conséquent, les politiques visant les enfants en développement devraient rejoindre les paramètres de priorité. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi. Imaginez la différence entre un enfant entouré de parents aimants et que le choix de tous les sports, tous les livres et tous les divertissements et celui dont les parents sont souvent absents et n’ont même pas de chaussures de mettre les pieds. Au Canada, environ 15% des enfants vivent dans la pauvreté.
La responsabilité des parents, les adultes en général et tous les niveaux du gouvernement est de fournir aux enfants des environnements qui favorisent le développement de toutes aptitudes. Sur le plan collectif, cet environnement peut prendre la forme d’un soutien direct pour les femmes enceintes et les parents, les soins de santé, de garde d’enfants, aires de jeux, des politiques de soutien de la famille (maternité et la paternité, concilier travail et famille), etc.
«Ce que nous pouvons tous faire à partir de maintenant est de porter un regard candide sur les enfants autour de nous et ceux du monde entier. Les enfants sont des êtres de lumière qui, purement spirituel, ils sont tous nés égaux. Les différences se situent principalement dans le physique et social, et se produisent à des niveaux élevés d’inégalité qui créent la vulnérabilité et le handicap. Les causes en sont le plus souvent liés à l’environnement indésirables tels que la pauvreté et l’exclusion et le manque d’accès aux outils de développement essentiels.
Ce que nous devons tous faire à partir de maintenant est de nous investir auprès des enfants autour de nous et ceux du monde entier à créer des droits de l’enfant équité et de respect, tel que décrit dans la Convention internationale des droits de l’enfant. Cela signifie que tous ces enfants, surtout les plus vulnérables, devraient avoir accès à tous les outils nécessaires à leur développement et leur bonheur tout au long de leur cheminement vers l’âge adulte. Les outils de base se rapportent à un logement convenable, la qualité des aliments, le plein accès aux soins de santé intégrés, mais aussi, l’attachement à des adultes significatifs, de la sécurité, l’identité, les connaissances et le potentiel de rêve.
Chaque adulte peut et doit contribuer à doter les enfants pour la vie. ‘ C’est une question de dignité, d’équité et de respect de nos origines, il est aussi l’essence de notre humanité. ‘
Ce que la société peut faire
Adopter des politiques garantissant que les enfants des personnes les plus vulnérables ont accès à des environnements qui leur permettent de se développer harmonieusement. Par exemple, les garderies, congés de maternité payés, l’identification précoce des enfants présentant des troubles d’apprentissage, etc.
En France
Le congé de paternité a été créé sous le gouvernement de Lionel Jospin et est entré en vigueur le 1er Janvier 2002.
Au cours d’une période de 11 jours calendaires (week-ends et les jours fériés sont inclus dans celui-ci), le congé de paternité est accordé au père après la naissance, en plus de trois jours obligatoires. Ce congé peut être pris à la suite de trois jours de congé de maternité ou dans les quatre mois après la naissance. Les 11 jours ne doit pas être divisée. La demande de congé doit être présentée à l’employeur au moins un mois avant. Ce congé est payé par la sécurité sociale dans le plafond de la tranche A. Ce droit existe également en cas d’adoption. Le jour qui définit le début de la période de quatre mois est l’arrivée de l’enfant à la maison.
En 2006, un couple gay, Karine et Elodie, a demandé un congé de paternité pour la personne du couple qui n’a pas été reconnue comme la mère. Le tribunal des affaires de sécurité sociale n’a pas réussi à Nantes (Nantes Tass, arrêt du 20 Mars 2006), puis la Cour d’appel de Rennes, Janvier 30, 2008.