Sport et tension
Une céphalée de tension est un type particulier de maux de tête, souvent chronique, non pulsatile (contrairement à la migraine). Il peut avoir différentes origines, en raison de problèmes musculaires et squelettiques col de l’utérus, ou psychosomatiques liées au stress. Les mécanismes de la céphalée de tension ne sont pas bien connus. Mais nous nous dirigeons vers une multifactorielles (combinaison de causes), avec des mécanismes différents entre les céphalées de tension fréquentes et peu fréquents ou de céphalées de tension chroniques.
Les traitements médicamenteux
Sur la base de l’hypothèse généralement admise d’une origine psychosomatique des maux de tête plus de tensions, les céphalées de tension sont alors généralement traités avec des médicaments psychotropes, tels que: Les effets psychologiques et physiologiques de ces derniers sont souvent loin d’être négligeable. Ils peuvent causer de la somnolence, perte de vigilance et de concentration afin _ ayant des effets nocifs pour certaines professions (comme les pilotes, drivers …) requiert toute l’attention de l’employé _, le poids … Basé sur l’hypothèse d’un muscle péri-cause aux céphalées de tension, certains médecins sont à explorer la façon dont les injections péri-crânienne de Botox (nom commercial de la toxine botulique), un muscle paralysé. Le traitement par Botox est un certain nombre de problèmes tels que:
Comment le sport peut influer sur la glycémie?
Normalement, l’insuline est sécrétée par le pancréas lorsque la quantité de sucre (glucose) dans le sang augmente, surtout après les repas. L’insuline stimule le foie et les muscles de prendre l’excès de glucose, entraînant une diminution de la glycémie. Lors de l’exercice, le corps a besoin d’énergie supplémentaire ou de carburant (comme le glucose) nécessaire pour le muscle. Pour les exercices de courte durée, comme un sprint rapide pour attraper le bus, les muscles et le foie peut libérer réserves de glucose pour produire l’énergie nécessaire. Mais dans les exercices en cours, les muscles utilisent le glucose près de 20 fois plus que d’habitude, il réduit les niveaux de sucre dans le sang. Mais l’exercice vigoureux peut avoir un effet inverse et augmente la glycémie, ce qui est particulièrement vrai pour de nombreuses personnes atteintes de diabète. Le corps, dans ce cas, reconnaît l’exercice intense comme un état de stress et libère des hormones de stress que le sucre dans le sang du corps augmente nécessaires à la production d’énergie à partir de muscles. Si cela se produit, le patient peut avoir besoin de prendre de l’insuline après un entraînement intensif (après la mesure de la glycémie).
Description
Les céphalées de tension sont des maux de tête se manifeste par des douleurs dans le cou, la région temporale ou le front qui peuvent se produire dans le casque, à l’horizontale … Elles peuvent apparaître sur les deux côtés de la tête (bilatérale), ou sur un côté. Ces maux de tête peut être épisodique ou chronique. Contrairement aux migraines, elles sont généralement non pulsatile.
Le test d’effort ou ECG d’effort est réalisée en présence d’un médecin, cardiologue plus souvent.
Ce dernier, après en avoir informé l’examen (intérêt et le risque), commence par un examen clinique afin d’éliminer une contre-indication pour l’examen et en effectuant un électrocardiogramme de repos. Pendant l’exercice, le médecin surveille en permanence l’ECG et les paramètres cardiaques (rythme cardiaque, pression artérielle …). Il détermine les niveaux d’effort et arrêter le test.
HYPERTENSION ARTERIELLE ET SPORT
– La pression artérielle systolique (voir systolique) augmente pendant l’effort, en particulier lorsque la pression artérielle de départ est élevé. Toutefois, en cas d’hypertension légère, cette augmentation peut également être modérée. Cela dépend en particulier sur le disque. -A l’inverse, la pression artérielle peut augmenter anormalement lors d’un effort chez un sujet ayant une tension normale au repos. Certes, les sports qui exigent un effort-cons sont donnés dans le cas de l’hypertension (singles jogging graves, haltérophilie, gymnastique, aérobic, squash ou de tennis). Les inconvénients sont recommandés par le mars encore plus rapide, natation, vélo, jogging, golf, tennis en double, le ski, sauf dans de très haute altitude.C-à-dire les sports d’endurance Il semble que la pratique régulière de ces sports pendant six semaines entraîne une diminution de la pression artérielle systolique de 11 mg de mercure et 5,6 mg de mercure pour la pression diastolique, à condition que la pratique trois fois par semaine pendant environ une heure, en prenant soin que la fréquence cardiaque ne dépasse pas 120 battements par minute. – Il n’est pas recommandé chez les patients hypertendus un sport individuel où le problème de concurrence se pose. Par exemple, ne pas seulement faire une légère hypertension match de tennis cinquantaine contre son fils de 25 ans. – En outre, il est clair que le tabagisme est totalement contre-indiqué en cas d’hypertension, même légère, qui veut faire du sport, parce que les effets néfastes se conjuguent à ceux de l’hypertension (sur coronaires en particulier). – Vous devez également savoir que la consommation excessive d’alcool, taux élevé de cholestérol ou de sucre dans le sang, augmente les risques cardio-vasculaires (voir athérosclérose et l’hypertension). – En général, après 40 ou 50 ans vous pouvez continuer un sport auquel nous sommes habitués, même en compétition, en respectant ce qui est indiqué ci-dessus. Par contre, il doit encore être plus prudent lors de l’hypertension, même légère pour commencer un nouveau sport que nous ne sont pas utilisés. – Dans tous les cas, le chauffage doit être musculaire approfondie (voir MUSCULAIRE WARM). – Il ne peut pas être trop conseillerais à personne de consulter son médecin avec l’hypertension, afin de procéder à un examen cardio-vasculaire complet, de surveiller régulièrement les paramètres de laboratoire (taux de cholestérol, de triglycérides et de glucose). – Le médecin doit également mettre en garde contre les effets nocifs des drogues sur la pression artérielle, en particulier sur la fréquence cardiaque de stress élevé.