Sandoz
sandoz était une société pharmaceutique suisse basée à Bâle en 1886 par Alfred Kern et Edouard Sandoz. Il est connu pour être à l’origine du LSD, découvert par hasard en 1938. En 1996, la société a fusionné avec Ciba-Geigy pour former Novartis.
Fusion
En 1996, sandoz a fusionné avec Ciba-Geigy pour former Novartis. Par la suite, filiale génériques de sandoz devient le Groupe Novartis.
Histoire
En 1886, Kern & sandoz Chemiefirma est basé à Bâle par le Dr Alfred Kern (1850-1893) et Edouard sandoz (1853-1928). L’entreprise fabrique des encres et des pigments comme l’auramine bleu ou alizarine. Après la mort de Kern, le changement de nom: Chemische Fabrik vormals sandoz (1895). La société a produit cette année un médicament contre la fièvre, l’antipyrine. En 1917, la recherche pharmaceutique est en développement sous la direction du professeur Arthur Stoll (1887-1971) qui a fondé le département de la société pharmaceutique déjà actif dans la chimie des colorants. Entre les deux guerres, sandoz développe une gamme de médicaments dont Gynergen en 1921 et Calcium-sandoz en 1929. Elle est également l’industrie avec des produits pour textiles, papier et cuir. En 1939, elle a commencé la recherche et la production dans le domaine de l’agrochimie (engrais, pesticides, fongicides, etc.)
LSD
En 1938, Arthur Stoll et Albert Hofmann a découvert le LSD dans le cadre de la recherche sur les analeptiques et de la recherche sur les produits dérivés de l’ergotamine, synthétisée en 1917 par Arthur Stoll. Le brevet a été déposée aux États-Unis au nom d’Arthur Stoll et Albert Hofmann en 1948 (demande déposée en Suisse le 30 avril 1943). La société développe alors l’utilisation de cette substance dans un traitement psychiatrique en vertu de la Delysid nom. sandoz a connu un psychotique sur un grand nombre de cas allant de l’alcool à la criminalité. La firme a même suggéré que les psychiatres prennent du LSD pour comprendre les phénomènes liés à la schizophrénie, des conseils qui étaient souvent suivis par des spécialistes dans ce domaine. Dans le début des années 1950, les recherches sur le LSD s’intensifie. sandoz remporte des contrats avec l’armée américaine qui veut transformer le Taser LSD. Cependant, 10 ans plus tard, l’entreprise freine le développement dans cette direction et retirer le produit du marché à la mi-1960. En 1964, il a ouvert sa première succursale à l’étranger. En 1967, elle rejoint Wander AG (connue pour le chocolat Ovomaltine et de boissons Isostar). sandoz achète Delmark, Wasabröd et Gerber Products Company.
En cas de catastrophe de 1986
1 Novembre 1986, un incendie dans l’entrepôt de 956, près de Bâle. Les pompiers tentent de limiter les dégâts avec plus de 15 000 m³ d’eau, un volume qui dépasse largement les 50 mètres cubes du bassin de rétention. L’excédent, un mélange d’eau rougeâtre, pesticides, composés du mercure ainsi que des esters de phosphate, se jette dans le Rhin. Un désastre écologique suit que l’Allemagne, la France et les Pays-Bas sont touchés. La pêche est interdite pendant six mois dans les zones contaminées. À la fin de Septembre 1987, une allocation d’environ 30 millions d’euros payés par sandoz France suite à l’affaire que les médias appellent Tchernobâle en référence à la catastrophe de Tchernobyl.
CLINIQUE
patients ambulatoires: commencer par un comprimé à 50 mg au coucher. La dose peut être augmentée progressivement, chaque jour, un demi-comprimé pour atteindre une dose de 100 mg par jour peut être divisé dans la journée, dans deux ou trois doses, avec une plus grande prise au coucher, ou être donnée que vêpres une fois par jour. Augmenter progressivement chaque jour, un demi-comprimé jusqu’à la dose efficace habituelle de 150 mg par jour peut être divisé en deux doses (un comprimé le matin et deux le soir au coucher) ou trois doses. En raison de la présence de lactose, le médicament contre-indiqué pour se galactosémie congénitale, de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase. D’autres symptômes sont rares: épisode d’agitation ou de délire, paresthésies, hyper-réactivité à la lumière, le bruit et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, des hallucinations, des convulsions. Les symptômes de sevrage peuvent survenir dans les jours qui suivent l’arrêt du traitement. Les benzodiazépines d’action à court terme, surtout si on à fortes doses, les symptômes peuvent même se produire dans l’intervalle entre deux doses. Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome des degrés divers d’altération de la conscience et des troubles du comportement et de la mémoire. · Auto-ou hétéro-agressivité, surtout si les tentatives d’entraver l’activité environnement du patient, Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l’organisme pour une période d’environ 5 demi-vies (voir rubrique 5.2). Chez les sujets âgés ou présentant une insuffisance rénale ou hépatique, la demi-vie peut se développer considérablement. doses répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d’équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n’est qu’après l’obtention d’un plateau d’équilibre qu’il est possible d’évaluer l’efficacité et l’innocuité du médicament. Les benzodiazépines et produits apparentés doivent être utilisés avec prudence chez les personnes âgées, en raison du risque de sédation et / ou un relaxant musculaire qui peuvent favoriser les chutes, avec des conséquences souvent graves dans cette population. Outre la nécessité de diminuer graduellement la dose, les patients doivent être avisés de la possibilité d’un rebond, de diminuer l’anxiété qui pourrait découler de symptômes liés à cette interruption, même progressive. la respiration avec facultés affaiblies, il convient de prendre en compte l’effet dépresseur des benzodiazépines et apparentés (d’autant plus que l’anxiété et l’agitation peuvent être des signes d’appel de décompensation de la fonction respiratoire qui justifie le passage dans l’unité de soins intensifs). + Les sédatifs: dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution autres que la buprénorphine), les neuroleptiques, les barbituriques, les benzodiazépines, des anxiolytiques non benzodiazépines (par exemple, méprobamate); hypnotiques antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, Trimipramine); sédatifs antihistaminiques H1; centrale antihypertenseur; baclofène; pizotifène thalidomide. En outre, pour les dérivés morphiniques (analgésiques, de la toux et le traitement de substitution), barbituriques: risque accru de dépression respiratoire, pouvant surdose fatale. Tératogénicité a été discutée pour certaines benzodiazépines, mais non confirmée à la suite d’études épidémiologiques. Dans ces circonstances, il semble préférable d’éviter la prescription de ces substances au cours du premier trimestre de la grossesse. Il faut éviter de prescrire des doses élevées pendant le dernier trimestre de la grossesse car il existe une probabilité d’occurrence, à la naissance, une hypotonie et une détresse respiratoire chez le nouveau-né. Après quelques jours à plusieurs semaines d’âge peuvent présenter un syndrome de sevrage. L’association avec d’autres médicaments sédatifs doit être déconseillée ou prise en compte lors de la conduite ou l’utilisation de machines (voir rubrique 4.5). · Amnésie antérograde, qui peut se produire à des doses thérapeutiques, le risque augmentant proportionnellement à la dose, La dépendance physique et psychologique °, même à des doses thérapeutiques, avec des symptômes de sevrage ou de rebond à l’arrêt du traitement, · Confusion, baisse de vigilance ou de somnolence (surtout chez le sujet âgé), insomnie, cauchemars, tension, · Très rares cas de syndrome de Stevens-Johnson et syndrome de Lyell. Ces réactions sont survenues en liaison avec des médicaments connus pour induire de tels effets. En cas de surdosage par voie orale 1 heure avant l’induction de vomissements ne sera effectué si le patient est conscient ou, à défaut, un lavage gastrique avec protection des voies respiratoires. Après cette période, l’administration de charbon activé peut réduire l’absorption.
PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
Ces effets sont liés à une action agoniste spécifique sur un récepteur central partie du complexe ‘macromoléculaire du récepteur GABA-OMEGA’, également appelé BZ1 et BZ2 et modulant l’ouverture du canal chlorure. Son élimination se fait principalement via l’urine (70%), et dans une moindre mesure par les fèces (30%), le principal métabolite excrété est dérivé glucuronide, hydroxy-3 ‘tétrazépam. La cinétique est légèrement modifiée dans l’insuffisance rénale, même sévère, mais la plus longue demi-vie, une grande variabilité d’un sujet à l’autre, justifiées par prudence, de réduire la posologie insuffisance rénale sévère.
CALCULS URINAIRES
La présence de calculs dans les reins. Si ces calculs ne tiennent pas déplacer les pierres peuvent rester silencieuses pendant très longtemps. Mais il est souvent après un épisode de colique néphrétique que des tests supplémentaires (échographie ou urographie) mettra en évidence les pierres. TRAITEMENT: Avant tout il faut boire deux litres d’eau par jour. Doit être administré à long terme antiseptique urinaire. Un traitement spécial sera fonction du type de pierres. En cas de: – Lithiase urique: il administrer un médicament qui inhibe la production d’acide urique dans le corps, ou Zyloric Thiopurinol. Il faudra un régime alimentaire faible en alcool, riche en légumes verts. – Lithiase oxalique: il permettra d’éliminer tous les aliments contenant de l’acide oxalique: les épinards, les asperges, les figues et le chocolat. – Lithiase calcique: il diminue l’apport en calcium (lait et fromage). L’administration de phosphore peut être utile: sandoz haute teneur en phosphore ou Foslymar. – Pierres magnésiennes Phospho: il faut réacidifier urine pour éviter la précipitation qui se produit en milieu basique. Nous pouvons administrer Actiphos. La chirurgie a une place pour extraire les calculs qui sont enclavés. Enfin, dans certains cas où la chirurgie n’est pas approprié, nous pouvons briser les calculs par la méthode de la lithotripsie extra-corporelle. La fragmentation est obtenue par un changement brusque de la pression de contact avec le calcul par une onde de choc produite par un générateur électro-hydraulique ou d’une onde ultrasonore. Cette vague se concentre sur le calcul se trouve en permanence par un système d’échographie couplée à fragmentation. Est rompu et les calculs dont les fragments peuvent ensuite être évacué par l’urètre souvent, cependant il faut dire avec quelques coliques plus. Pour ce faire il est indispensable que l’urètre est normal.