Rhinite allergique
La rhinite allergique est une affection bénigne médicale secondaire à une hypersensibilité à une substance étrangère appelée allergène. Son expression clinique est essentiellement la rhinite et de conjonctivite.
Notes
Il est parfois impossible d’éviter les allergènes ou de les éviter suffisamment pour prévenir les symptômes gênants de la rhinite allergique. Dans ce cas, il peut être nécessaire de prendre des médicaments pour traiter vos allergies. Si vous savez quand vos allergies (ex. dans le cas de la rhinite allergique saisonnière), vous devriez prendre des mesures préventives (y compris les médicaments) afin de réduire vos symptômes à un minimum. Votre médecin ou votre pharmacien pour vous aider à trouver le bon traitement pour vous. Si vous traitez vos allergies déjà sans atteindre les objectifs, vous pouvez demander à votre médecin de proposer d’autres options thérapeutiques. Utilisez notre guide pour la discussion avec le médecin à planifier votre visite. Si le printemps est synonyme de renouveau, un brillant avenir pour certaines personnes est le début d’une période assez difficile qui rime avec le rhume des foins. Rhinite peut être une maladie saisonnière, mais il peut aussi la peste tout au long de l’année selon le mécanisme allergique (acariens, poils d’animaux …). La rhinite allergique est de plus en fréquentes.En de plus en plus de cette page, lisez notre dossier: Rhume des foins: toutes les Solutions.IT côté d’une origine allergique, il peut également se produire rhinite vasomotrice, les muqueuses nasales avec de grosses pour des raisons diverses (médicaments, en raison de travail l’inhalation de substances irritantes …). La rhinite infectieuse, généralement d’origine virale est souvent associé à une altération de la gorge (rhinopharyngite). En fait, la rhinite est une inflammation des muqueuses de la rhinite nez.La peut être aiguë (de quelques jours) ou chronique (nez bouché pendant une période plus courte ou plus). Le médecin peut éventuellement se référer le patientd’un médecin ORL ou un allergologue.
La rhinite allergique saisonnière
Ses principales manifestations sont les éternuements, rhinorrhée, obstruction nasale, prurit nasal et les yeux se déchirer. Ces symptômes se manifestent après une exposition à des allergènes de pollen, dont la présence dans l’air varie selon les espèces (par exemple en France il ya des espèces comme le bouleau, le noisetier, le chêne au printemps, les graminées dans le début de l’été, l’herbe à poux, plantain fin de l’été) et le climat (plus élevé dans chaud et sec). La rhinite allergique saisonnière commence habituellement dans l’enfance. Ils sont rares après 65 ans. L’asthme est souvent associée (dans 20% des cas). La rhinite allergique peut être associée à l’asthme, la conjonctivite allergique ou d’autres conditions telles que la sinusite ou l’otite. Les tests sont rarement nécessaires au diagnostic. Les tests cutanés ne sont utiles que si la désensibilisation est considéré. Les traitements sont le plus souvent symptomatique en cas d’expulsions possible de l’allergène, le cromoglycate de sodium solution nasale (gouttes pour les yeux en cas de symptômes oculaires), les dermocorticoïdes, antihistaminiques par voie orale ou nasale. Le seul test positif pour l’efficacité de l’homéopathie sont de faibles niveaux de preuve. L’irrigation nasale a été testé avec succès. La désensibilisation consiste à administrer un allergène en continu sur plusieurs mois ou années, de plus en plus. Administré par voie sous cutanée, la désensibilisation a prouvé son efficacité, mais parfois au prix d’effets indésirables (réactions locales au site d’injection, urticaire), parfois sévères (bronchospasme, œdème de Quincke, asthme, choc anaphylactique). Administration par voie sublinguale (lyophilisé) est une technique récente et donc la baisse n’est pas suffisante pour déterminer son efficacité à long terme. Le pollen de phléole des prés (Grazax ⁰) est un nouveau traitement utilisé par voie orale ne sont pas remboursés par la sécurité sociale. Selon la revue Prescrire, le critère principal disponibles indiquent que le traitement de 4 mois est nécessaire pour obtenir un confort de quatre jours. Il ya aussi pas d’essais avec la désensibilisation par voie sous cutanée. 2 / 3 des patients ont présenté des effets indésirables après le traitement.
La rhinite allergique saisonnière
Ses principales manifestations sont les éternuements, rhinorrhée, obstruction nasale, prurit nasal et les yeux se déchirer. Ces symptômes se manifestent après une exposition à des allergènes de pollen, dont la présence dans l’air varie selon les espèces (par exemple en France il ya des espèces comme le bouleau, le noisetier, le chêne au printemps, les graminées dans le début de l’été, l’herbe à poux, plantain fin de l’été) et le climat (plus élevé dans chaud et sec). La rhinite allergique saisonnière commence habituellement dans l’enfance. Ils sont rares après 65 ans. L’asthme est souvent associée (dans 20% des cas). La rhinite allergique peut être associée à l’asthme, la conjonctivite allergique ou d’autres conditions telles que la sinusite ou l’otite. Les tests sont rarement nécessaires au diagnostic. Les tests cutanés ne sont utiles que si la désensibilisation est considéré. Les traitements sont le plus souvent symptomatique en cas d’expulsions possible de l’allergène, le cromoglycate de sodium solution nasale (gouttes pour les yeux en cas de symptômes oculaires), les dermocorticoïdes, antihistaminiques par voie orale ou nasale. Le seul test positif pour l’efficacité de l’homéopathie sont de faibles niveaux de preuve. L’irrigation nasale a été testé avec succès. La désensibilisation consiste à administrer un allergène en continu sur plusieurs mois ou années, de plus en plus. Administré par voie sous cutanée, la désensibilisation a prouvé son efficacité, mais parfois au prix d’effets indésirables (réactions locales au site d’injection, urticaire), parfois sévères (bronchospasme, œdème de Quincke, asthme, choc anaphylactique). Administration par voie sublinguale (lyophilisé) est une technique récente et donc la baisse n’est pas suffisante pour déterminer son efficacité à long terme. Le pollen de phléole des prés (Grazax ⁰) est un nouveau traitement utilisé par voie orale ne sont pas remboursés par la sécurité sociale. Selon la revue Prescrire, le critère principal disponibles indiquent que le traitement de 4 mois est nécessaire pour obtenir un confort de quatre jours. Il ya aussi pas d’essais avec la désensibilisation par voie sous cutanée. 2 / 3 des patients ont présenté des effets indésirables après le traitement.
rhinite allergique
Il est l’état inflammatoire de la muqueuse pituitaire (muqueuse nasale), le résultat d’une réaction allergique d’hypersensibilité immédiate due à un conflit ALLERGÈNE IgE. Cette rhinite allergique peut être saisonnière ou sans variation saisonnière. 1 – La rhinite saisonnière: C’est le classique rhume des foins. Il survient le plus souvent chez les enfants et en tout cas avant l’âge de trente ans. Il se produit dans un domaine particulier: des antécédents d’eczéma, urticaire. Elle se manifeste par des démangeaisons nasales, des éternuements, une rhinorrhée aqueuse (c’est la écoulement aqueux du nez), l’obstruction nasale, souvent associée à une toux spasmodique. Le diagnostic est confirmé par le laboratoire. Il ya une hyperéosinophilie sanguine et une augmentation de circulation immunoglobuline E. TRAITEMENT: Dans la prévention des crises, localement Lomudal l’lomusol, Rhinaaxia ou même l’Alérion. Anthihistaminiques médicaments et également si la corticothérapie locale ou systémique précédents seraient insuffisantes. Parmi les corticostéroïdes topiques convient de mentionner que la fluticasone a une forte action anti-inflammatoire, ce qui est bien tolérée et que l’action est durable, et le béclométhasone Une nouvelle molécule semble destiné à un grand développement dans le contexte de la rhinite allergique saisonnière: fexofénadine est un antihistaminique puissant et sélectif par voie orale. Cette molécule est également utilisée avec succès dans le prurit de l’urticaire chronique. Levocetirizine (Xyzall) semble également être très actif par voie orale à une dose d’un comprimé par jour. Son action est très rapide sur le nez qui coule, démangeaisons et éternuements, que l’heure suivant sa prise. En outre, le médicament est conforme à la vigilance et les permis de conduire. 2 – sans la rhinite saisonnière: L’examen permet d’identifier l’allergène responsable. Nous constatons souvent une unité de lieu ou de temps. TRAITEMENT: Il sera le même que ci-dessus, mais la désensibilisation spécifique est souvent indispensable Une nouvelle molécule (Kestin) semble très efficace dans ce rhinite periannuelle à la dose de 10 à 20 mmg par jour de préférence entre les repas. et une globuline de complément est souvent un impact très réel (le allerglobuline). Une nouvelle thérapie semble prometteuse: Il est l’utilisation d’un anticorps monoclonal dirigé contre la classe d’immunoglobuline E (IgE) (Voir les anticorps monoclonaux). L’anticorps rhuMAb-E25 a la propriété de se lier spécifiquement aux IgE humaines, ce qui diminue les taux circulants. Cet effet provoque une anti-allergique en inhibant la dégradation de MAST (qv). L’administration de ce médicament est par injection sous-cutanée à raison de toutes les trois semaines pendant la période de pollinisation. à une dose de 300 mg. L’objectif est de réduire les IgE est inférieur à 25 nanogrammes par ml. D’autres tests sont en cours pour déterminer si ce traitement est valable pour d’autres de pollinose au pollen de bouleau pour laquelle ce traitement a été mis en œuvre, paraît-il, avec succès. Voir: Pollinose RHINITE chronique récidivante POLLEN ET RHINITE ALLERGIQUE