Maladie bouveret
Aussi appelée tachycardie jonctionnelle ou tachycardie paroxystique supraventriculaire, Maladie bouveret correspond à des crises de tachycardie (accélération du rythme cardiaque), se manifeste par des palpitations de soubresauts et de l’objet et dont le mécanisme est bien individualisé. Il est un syndrome clinique décrit avant la découverte de l’électrocardiogramme. L’avènement des explorations électrophysiologiques électrocardiographie et pas que beaucoup plus tard décrire le mécanisme et les différents substrats anatomophysiologique responsable des crises. Cette maladie est décrite sur l’ECG comme une tachycardie supra-ventriculaire par rythme réciproque (formation d’une boucle auto-entretenue) est généralement au niveau du nœud auriculo-ventriculaire, soit en raison de la présence d’un faisceau accessoire paramètre oreillettes en contact avec les ventricules (faisceau d Kent) dans le cadre d’un syndrome de Wolff-Parkinson-White. La fibrillation auriculaire ou de flutter auriculaire peut provoquer des crises de tachycardie qui sont différentes de celles du Bouveret, mais la distinction n’est pas toujours évident sur l’électrocardiogramme de l’absence de ralentissement.
Le traitement médical des arythmies cardiaques
L’arythmie est généralement inoffensive et ne sont pas toujours besoin de traitement. En effet, le traitement n’est nécessaire que lorsque les symptômes sont sévères ou si l’arythmie peut causer des complications. Drogues. Beaucoup de médicaments peuvent être prescrits pour traiter la tachycardie. Ils comprennent les bêta-bloquants, les inhibiteurs de sodium, de calcium et de potassium, et de la digoxine. Bien qu’ils ne peuvent pas guérir la maladie, les médicaments peuvent réduire la fréquence des crises ou contribuer à réduire la fréquence cardiaque lorsque survient une crise. Automatique défibrillateur implantable. Il s’agit d’un petit dispositif implanté dans la partie supérieure du thorax et a électrodes reliées à cœur. Si le coeur développe une arythmie potentiellement mortelle, le défibrillateur automatique implantable émet un choc électrique destiné à rétablir le rythme cardiaque. L’ablation par radiofréquence. Utilisation de cathéters, les électrodes sont dirigés à travers les vaisseaux sanguins du cœur, le site qui est à l’origine de l’arythmie. Un courant peut détruire le tissu cardiaque par un effet de la chaleur. Maze procédure. Le chirurgien fait de petites incisions dans les oreillettes. Scars empêcher le courant électrique alors s’écarter de la trajectoire qu’il doit prendre. Ce type de chirurgie se fait généralement quand une autre intervention chirurgicale est nécessaire à cœur. maisonLa tachycardie paroxystique supraventriculaire salaires ou d’une Maladie bouveret peut être arrêtée par la manœuvre de Valsalva: à plonger la tête dans l’eau froide, de la toux ou peser sur le diaphragme. Ces manœuvres affecter le nerf vague qui contrôle le rythme cardiaque et ont souvent pour effet de le ralentir. Un médecin peut recommander d’autres manoeuvres similaires. L’installation d’un stimulateur cardiaque temporaire ou permanente artificiel (pacemaker) est parfois nécessaire lorsque le rythme cardiaque est trop lent. Ce petit appareil électronique est implanté près de la clavicule et de routes, en utilisant une électrode, un courant électrique au cœur pour le stimuler si nécessaire.
Traitement
La gestion est d’abord de répondre à la crise: on parle de réduction. Prévention des récidives (c’est-à-dire, la survenue de nouveaux épisodes le même) vient dans un second temps.
Prévention des récidives
Les crises ne sont généralement pas dangereux, même si elles peuvent générer des gènes et de l’anxiété. Lorsque l’accès est bien toléré tachycardie, rares et facilement réduits par le patient lui-même, aucun traitement n’est nécessaire. En cas d’accès fréquents avec crises prolongées, invalidantes, difficile réduite par le patient lui-même, antiarythmiques, bêta-bloquants, antagonistes du calcium bradycardie. L’utilisation de l’amiodarone est exceptionnel. Si la désactivation des formes malgré un traitement anti-arythmique, ou une intolérance à ce dernier, l’ablation de la voie accessoire (en ce moment à une étude électrophysiologique, avec application d’une fréquence radio à ce sujet pour le chauffage doux et la coagulation du canal ciblées) doit être discuté. Le syndrome de Wolff-Parkinson-White pose des problèmes spécifiques, nécessitant parfois un traitement plus agressif. Cette affection est caractérisée par des accès de tachycardie paroxystique supraventriculaire (TPSV) à 200/mn dont le début et la fin sont très coupantes. Une crise peut durer de quelques minutes à plusieurs jours. Le patient ressent des palpitations, anxiété, douleurs à la poitrine et souffre parfois de pannes de courant ou des évanouissements. La fin de la tachycardie est soudaine et accompagnée d’éructations, des bâillements, émission abondante d’urine (polyurie), avec l’incontinence par impériosité, et la fatigue. Les causes sont variables. Le plus commun tachycardie paroxystique supraventriculaire se produit sur un coeur sain. Parfois, le médecin a découvert une valve cardiaque, un cardiothyréose, une maladie pulmonaire cardiaque, un syndrome de Wolff-Parkinson-White. Le syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW) est une puissance de pré-excitation: il ya une voie de conduction anormale entre l’oreillette et le ventricule conduisant à la dépolarisation ventriculaire prématurée. Outre l’accès de tachycardie jonctionnelle, le syndrome de Wolff-Parkinson-White peut provoquer une syncope ou mort subite par fibrillation auriculaire compliquée de fibrillation ventriculaire.