Lutter contre l obésité
L’obésité est l’état d’une souffrance personne ou un animal à partir d’une masse grasse corporelle élargie, ce qui entraîne un excès de poids réparti entre le conseil dans divers domaines de la graisse du corps. L’obésité de l’homme a été reconnue comme une maladie en 1997 par l’OMS. Cette organisation définit le surpoids et l’obésité comme une accumulation anormale ou excessive graisse qui peuvent affecter votre santé. ‘ Sa prévention est un problème de santé publique dans les pays développés. Il peut avoir un impact significatif sur la santé de l’individu.
maladie multifactorielle qui est considérée aujourd’hui par abus de langage comme une pandémie, même si elle n’est pas une maladie infectieuse.
Avec quoi devrions-nous pas confondre thromboses?
La thrombose veineuse des jambes ne doit pas être confondu avec un bruissement ou douleurs musculaires.
Toujours parler de la douleur chez un veau dans une personne à risque: maladie du sang permanent, ou isolées par le repos au lit, par exemple.
Causes
Le processus physiologique
Quand le corps reçoit plus que ce qu’il dépense, il stocke une partie de la contribution, sous forme de graisse dans le tissu adipeux. Toutefois, le métabolisme, très différent en fonction de l’individu joue un rôle important, et certaines personnes seront plus facilement devenir obèses que d’autres facteurs (y compris génétiques).
Liste des affaires
L’obésité est multifactorielle, impliquant la dimension génétique et physiologique (héréditaire). Mais l’explosion récente du nombre de personnes obèses est principalement attribuable à plusieurs facteurs liés au mode de vie:
Causes alimentaires
En ce qui concerne la nourriture, la quantité de sucre consommée n’est pas le seul critère, la qualité (indice glycémique de sucre, par rapport à l’ensemble raffiné) jouent beaucoup, de sorte que la graisse n’est pas le seul critère, leur qualité joue également un rôle: les huiles sont pressées à froid, par exemple beaucoup plus favorables que les huiles raffinées (extrait par temps chaud, ce qui élimine une grande partie des apports bénéfiques, y compris les anti-oxydants et / ou de solvants) et plus favorable que les graisses saturées.
Les plans, mais peuvent parfois paradoxalement contribuer à l’obésité. En effet, une mauvaise alimentation (pauvre en protéines et trop restrictifs) favorisent la perte de la masse musculaire, qui est directement liée au métabolisme. Après ces mauvais régimes, il ralentit le métabolisme de récupération et accélérée du poids. Ces mauvaises habitudes alimentaires sont insuffisantes, l’apport en protéines principalement.
Les facteurs héréditaires
La contribution de l’hérédité est progressivement mieux connus. 6 ou 7 gènes sont impliqués dans les formes monogéniques (dues à un seul gène) de l’obésité. Une vingtaine d’autres – à peu d’effet – ou la cause de l’obésité due à faciliter l’action conjointe de plusieurs gènes. Mais même cela ne fonctionne pas tous les mécanismes, ni de l’héritabilité associés à cette maladie. Tous ces gènes codent pour des protéines exprimées dans le cerveau (l’hypothalamus ou dans les neurones qui régulent l’appétit).
Les autres causes
Prévention
L’obésité est un problème qui traite avec le moyen et long terme avec médical ou psychologique. L’objectif médical et psychologique pour contrôler que l’obésité et ses complications ne s’aggravent pas. L’obésité peut être largement évitée par équilibre entre l’apport d’énergie pour maintenir un poids normal. Par mesure de précaution, un régime régulier, fondé sur le respect pour les repas, permet de mieux contrôler ce que nous mangeons. Le National Health and Nutrition Program a été créé en France pour lutter contre ce fléau. Il propose des guides nutritionnels sur son site Internet.
L’industrie alimentaire a tendance à mettre matières premières bon marché dans les repas prêts à réduire les coûts de fabrication, y compris le sel, le sucre et les graisses produites à partir d’huiles hydrogénées contenant des acides gras isomères trans, ce qui augmente considérablement augmenté le risque cardiovasculaire.
Il est également fortement recommandé d’avoir une activité minimale physique. Si un sport, faire au moins une demi-heure de marche par jour.
Enfin, les facteurs psychologiques (plaisir de manger) et sociaux (manger ensemble lors d’un repas) sont très positifs. En effet, l’acte de manger ne doit pas être seulement d’ordre médical, mais aussi une source de plaisir. La culpabilité peut être un facteur aggravant de l’obésité.
Les enfants sont les plus à risque
C’est pourquoi l’éducation nutritionnelle est très important de l’école. Des expériences dans plusieurs villes françaises (EPODE: ‘Travailler ensemble pour prévenir l’obésité infantile») montrent l’utilité et l’efficacité de cette éducation pour les enfants et leurs parents: ce sont les enfants qui sont les ambassadeurs d’une alimentation équilibrée de leurs parents …
En France
En France, une campagne de sensibilisation lancée en 2002 encourage les gens à manger au moins cinq fruits et légumes par jour et effectuer l’équivalent d’une demi-heure de marche par jour (National Nutrition Santé – PNNS PNNS puis 2). En 2007, la publicité alimentaire destinée aux enfants doit être inférieur et un message devrait indiquer que l’excès de risque de ces produits peut causer: sur les chaînes destinées aux enfants et aux jeunes des programmes sont diffusés en petits caractères au bas des avis publicitaires ‘manger 5 fruits et légumes par jour »,« frais vous bien »et« évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé. ‘ L’efficacité du message de santé est discutable, ‘la moitié des consommateurs ne comprennent pas et croient que les signaux d’un aliment bon pour la santé.’
Pour prévenir l’obésité infantile, un Plan National Nutrition 2006/2010 a été mis en place. Le plan comprend trois étapes principales. Supprimer la publicité de certains aliments et boissons sucrées dans certains programmes pour les jeunes. Encourager l’élimination des boîtes de bonbons pour stocker des aliments. Et la mise en œuvre de nouvelles recommandations nutritionnelles pour les repas scolaires. En ce qui concerne la suppression de la publicité, il n’est toujours pas sur l’ordre du jour, la loi dite «Hôpital, patients, santé et territoire, promulguée en 2009, après avoir rejeté l’idée.
Belgique
Est-il possible de prévention de la thrombose?
Le traitement préventif avec des médicaments, des injections et / ou un traitement local est indiqué lorsque les facteurs de risque, si le cas artérielle ou de chirurgie majeure veineux.En comme un remplacement de la hanche, le traitement par anticoagulants sont régulièrement offerts phlébite inconvénients. En cas de facteur de risque (insuffisance veineuse, …), long voyage porter un dispositif de retenue veineuse (bas, chaussettes) est suffisante. Des règles simples sont proposées, telles que se dégourdir les jambes régulièrement, boire de l’eau régulièrement, la marche sur le plan … En ce qui concerne la thrombose artérielle, des mesures préventives sont les mêmes que ceux pour la lutte contre les maladies cardio-vasculaires: ne pas fumer, alimentation adéquate en cas d’athérome ou le diabète, la lutte contre l’obésité …
INFARCTUS ET DIABETE
DNID (non insulino-dépendant), c’est-à-dire que c’est un traitement sans l’utilisation de l’insuline, mais avec des médicaments par voie orale représente un facteur de risque cardiovasculaire majeur.
Surveillance d’un diabétique ne doit pas être limitée à la surveillance de la glycémie (taux de sucre dans le sang). Le traitement du DNID devrait être conçue comme un traitement préventif du risque cardiovasculaire
Ils devraient aussi savoir qu’il existe des formes asymptomatiques (qui ne présentent pas de signes) de la maladie coronarienne chez les diabétiques non insulino-dépendant.
Cette ischémie silencieuse du myocarde est deux fois plus fréquente chez les diabétiques que dans la population générale.
Il est assez fréquent de trouver dans l’électrocardiogramme, est une façon systématique, l’héritage de l’infarctus du vieux qui sont restés asymptomatiques.
Ce sont souvent des petits infarctus apical ou latéro-apicale.
Les diabétiques sont à haut risque cardiovasculaire:
-Ceux qui ont une microalbuminurie. Ils ont un risque trois fois de la mortalité cardio-vasculaire par rapport aux diabétiques qui ne présentent pas de microalbuminurie et le risque augmenté de 7 fois par rapport aux diabétiques non.
-Ceux qui ont la maladie artérielle périphérique
– Ceux qui ont des facteurs de risque: hypertension artérielle, dyslipidémie, le tabagisme.
-Ceux qui ont un parent qui est décédé de causes cardio-vasculaires;
-Diabétiques de plus de 65 ans, les femmes en particulier.
Vous devriez savoir que les lésions coronaires chez les patients diabétiques sont heureux tri-navire (trois troncs coronaires sont impliqués)
Les plaques sont souvent fissurées.
L’hypertrophie ventriculaire gauche est souvent constaté.
EN PRATIQUE:
Eviter une des périodes de maladie de l’hypoglycémie (pas assez de sucre dans le sang), ce qui pourrait réduire leurs médicaments pour le diabète strictement nécessaire, l’hypoglycémie peut provoquer des contractions ventriculaires prématurées avec risque de fibrillation auriculaire et de mort subite.
Nous devons chercher 1-2 fois par an chez ces patients avec contrôle de la pression artérielle et la microalbuminurie, le dosage du cholestérol, les triglycérides et le cholestérol HDL.
Nous devons lutter contre l’obésité et le tabagisme.
Un électrocardiogramme de repos sera effectuée une fois par an
Mais sachez que cette électrocardiogramme de repos peut être normal, et c’est pourquoi, un ECG d’effort ou la scintigraphie au thallium (voir SCINTIGRAPHIE HEART) permet de détecter ces patients asymptomatiques, en particulier si elle patient est porteur d’une microalbuminurie, l’athérosclérose carotidienne, et si elle a au au moins deux des facteurs de risque suivants: hypertension artérielleTabagisme
hypertriglycéridémie
L’hypercholestérolémie
antécédents familiaux de coronaropathie prématurée
Cette évaluation doit être répétée tous les deux ans
Si le solde est positif, il sera de proposer une coronarographie puis soit un pontage ou une angioplastie coronaire (voir ces termes).
Toutefois, dans certains cas, bien menée traitement médical peut empêcher ces interventions (les bêta-bloquants et les inhibiteurs calciques).
inhibiteurs ACE et l’aspirine peuvent être très efficaces
L’utilisation de statines est la règle en cas de dyslipidémie
L’hypertension est traitée
En outre, le diabète non insulino-dépendant peut induire une myocardiopathie qui peut évoluer vers l’insuffisance cardiaque congestive.