d’Alzheimer:impact l'alcool
Et l’alcool? Pas pour tout le monde!
D’après l’étude PAQUID, pour 80 % des gens, un peu d’alcool a un effet positif sur le cerveau car il prévient les troubles de la mémoire et il contribue à prévenir les maladies d’Alzheimer.
Cependant, pour 20 % des gens, l’alcool est potentiellement plus toxique. La différence entre ces deux groupes de personnes qui réagissent différemment à l’alcool, c’est le gène de l’apolipo- protéine E4.
Si vous n’êtes pas porteur de ce gène, vous faites partie de 80 % qui ont de la chance : la dose d’alcool que vous pouvez consommer pour un effet positif est comprise entre 1 et 21 verres par semaine , et les enivrements occasionnels n’ont pas de conséquence grave.
Les porteurs du gène de l’apo E4 ont un risque de maladie d’Alzheimer multiplié par 3 par rapport aux non-porteurs de ce gène. Mais, voici une précision essentielle : les porteurs de ce gène de l’apo E4 (20 % d’entre nous) qui ne boivent jamais ont un risque de maladie d’Alzheimer aussi bas que celui des non- porteurs de ce gène ! Cette information est essentielle, car elle montre que l’alcool est particulièrement toxique pour le cerveau des porteurs du gène apo E4.
Si vous êtes porteur du gène de l’apolipoprotéine E4, l’alcool augmentera vos troubles de mémoire, même si vous buvez moins de 2 verres par jour.
Pour que l’alcool vous soit bénéfique, et c’est quand même possible, il faut limiter strictement votre consommation : 1 à 6 verres par semaine maximum. Car, dès 1 ou 2 verres par jour, votre risque de maladie d’Alzheimer est multiplié par 1,5. Si vous buvez encore plus, il est multiplié par 3,4 .
Quant à l’ivresse alcoolique, elle est extrêmement néfaste chez les porteurs de l’apo E4 : un épisode par mois multiplie par 2,3
Si vous n’êtes pas porteur de ce gène, vous faites partie de 80 % qui ont de la chance : la dose d’alcool que vous pouvez consommer pour un effet positif est comprise entre 1 et 21 verres par semaine , et les enivrements occasionnels n’ont pas de conséquence grave.
Les porteurs du gène de l’apo E4 ont un risque de maladie d’Alzheimer multiplié par 3 par rapport aux non-porteurs de ce gène. Mais, voici une précision essentielle : les porteurs de ce gène de l’apo E4 (20 % d’entre nous) qui ne boivent jamais ont un risque de maladie d’Alzheimer aussi bas que celui des non- porteurs de ce gène ! Cette information est essentielle, car elle montre que l’alcool est particulièrement toxique pour le cerveau des porteurs du gène apo E4.
Si vous êtes porteur du gène de l’apolipoprotéine E4, l’alcool augmentera vos troubles de mémoire, même si vous buvez moins de 2 verres par jour.
Pour que l’alcool vous soit bénéfique, et c’est quand même possible, il faut limiter strictement votre consommation : 1 à 6 verres par semaine maximum. Car, dès 1 ou 2 verres par jour, votre risque de maladie d’Alzheimer est multiplié par 1,5. Si vous buvez encore plus, il est multiplié par 3,4 .
Quant à l’ivresse alcoolique, elle est extrêmement néfaste chez les porteurs de l’apo E4 : un épisode par mois multiplie par 2,3
votre risque d’Alzheimer et si vous vous enivrez davantage, votre risque est multiplié par 3,6
Ces effets positifs ou négatifs sont les mêmes quel que soit l’alcool consommé, vin, bière ou autre.
Quand on ne connaît pas, ou que l’on ne souhaite pas savoir si l’on est ou non porteur du gène de l’apolipoprotéine E4, dans tous les cas, l’idéal reste :
— d’éviter les « cuites » ;
— de ne pas dépasser 1 à 6 verres par semaine (l’effet bénéfique diminue rapidement avec la dose d’alcool consommé).
Fabien vient d’apprendre, suite à une prise de sang demandée par lui à son médecin, qu’il est porteur de deux gènes d’apolipo- protéine E4 :
« J’ai décidé de ne plus boire du tout d’alcool, ou alors un verre par semaine, pas plus. Surtout que j’ai déjà tendance à avoir un cholestérol trop élevé pour lequel je suis en traitement. Pourtant, j’aime le bon vin, mais savoir qu’il augmente les risques d’abîmer mon cerveau, ça m’a complètement coupé l’envie d’en boire! »
La dose conseillée d’alcool pour prévenir la maladie d’Alzheimer se situe entre 1 et 6 verres par semaine, à condition d’éviter les ivresses.
Ces effets positifs ou négatifs sont les mêmes quel que soit l’alcool consommé, vin, bière ou autre.
Quand on ne connaît pas, ou que l’on ne souhaite pas savoir si l’on est ou non porteur du gène de l’apolipoprotéine E4, dans tous les cas, l’idéal reste :
— d’éviter les « cuites » ;
— de ne pas dépasser 1 à 6 verres par semaine (l’effet bénéfique diminue rapidement avec la dose d’alcool consommé).
Fabien vient d’apprendre, suite à une prise de sang demandée par lui à son médecin, qu’il est porteur de deux gènes d’apolipo- protéine E4 :
« J’ai décidé de ne plus boire du tout d’alcool, ou alors un verre par semaine, pas plus. Surtout que j’ai déjà tendance à avoir un cholestérol trop élevé pour lequel je suis en traitement. Pourtant, j’aime le bon vin, mais savoir qu’il augmente les risques d’abîmer mon cerveau, ça m’a complètement coupé l’envie d’en boire! »
La dose conseillée d’alcool pour prévenir la maladie d’Alzheimer se situe entre 1 et 6 verres par semaine, à condition d’éviter les ivresses.
Vidéo: d’Alzheimer: impact l’alcool
Vidéo démonstrative pour tout savoir sur: d’Alzheimer:impact l’alcool