Maladies nosocomiales
Une infection nosocomiale est connu ou à l’hôpital si elle est absente dans l’admission du patient à l’hôpital et elle se développe au moins 48 heures après l’admission. Ce délai permet de distinguer une infection acquise dans la communauté de l’infection nosocomiale. Ce critère ne devrait pas être appliqué sans réflexion et il est recommandé de déterminer, dans les cas douteux, la plausibilité du lien causal entre l’infection et l’hospitalisation.
48 allonge la période de 30 jours pour les infections du site opératoire, et jusqu’à un an si le développement du matériel prothétique. En d’autres termes, toute infection survenant sur une cicatrice chirurgicale dans l’année suivant la transaction, même si le patient est sorti de l’hôpital, peut être considérée comme nosocomiale.
Commissions régionales de conciliation et d’indemnisation: Qu’est-ce que c’est?
La loi sur les droits des patients 4 Mars 2002, mis en place un système d’indemnisation des accidents médicaux et infections nosocomiales traitement infections.This s’applique, sous certaines conditions aux victimes d’un dommage imputable à une activité de prévention, de diagnostic ou de traitement.
Dans chaque région, une commission régionale de conciliation et d’indemnisation est chargée de faciliter:
Les comités comprennent des représentants d’associations composé de représentants des professionnels de la santé, des représentants des institutions de santé publique et les représentants privés du ONIAM et les assureurs.
Pour atteindre ce niveau de gravité, plusieurs critères alternatifs:
Si ces critères ne sont pas remplies, la Commission n’a pas compétence en matière de réparation. Dans ce cas, il peut encore suivre une formation en conciliation, que la personne peut entrer directement dans ses services de conciliation.
Pour la France
«Il est communément admis que, en France, 6% à 7% des hospitalisations sont compliquées par une infection nosocomiale (IN) plus ou moins graves, soit environ 750.000 cas sur les 15 millions d’hospitalisations chaque année.’
Selon ce dernier rapport de l’OPEP (Juin 2006), les infections nosocomiales sont «22% des événements graves liés aux soins de santé, contre 37,5% pour les autres conséquences de la chirurgie et de 27,5% pour les accidents médicamenteux.’
4.200 décès par an?
L’estimation du nombre habituel de décès annuels est de 7 000 à 10 000. Une enquête récente (C. CLIN Paris-Nord, PHRC 2001) table au lieu de 4200.’Au total, les infections nosocomiales sont donc pertinentes pour 9.000 décès par an, qui impliquent des 4200 patients dont le pronostic n’était pas engagé à court terme, ils entrent à l’hôpital. Pour la moitié de ces 4200 décès, aucune autre cause de décès est détecté. . ‘
La responsabilité est de toute façon difficile à établir. ‘Peu d’études ont été faites, mais il semble que les DANS multiplier le risque de décès par 3 si l’on compare le nombre de décès de patients qui ont acquis une NI que les patients« identiques »NI n’a pas acquis. …
Enfin, nous pouvons estimer le nombre de décès à l’hôpital avec de l’environ 9000, dont 4200 patients dont le pronostic n’était pas engagé à court terme, dont la moitié sans autre cause de décès. ‘
Il est probable que les trois quarts de ces 4.200 décès ont été victimes de bactéries multirésistantes aux antibiotiques
Un coût économique certain, plus cher que la prévention
‘Résultat Infections nosocomiales dans les frais généraux importants financiers, principalement en raison d’une hospitalisation plus longue (4 jours en moyenne), le traitement anti-infectieux et des tests de laboratoire pour le diagnostic et la surveillance de l’infection.On estime que la présence de l’infection prolonge le séjour en chirurgie orthopédique de près de 2 semaines et augmente le coût des soins du patient à 300%.
Les différentes études disponibles montrent un large éventail de coûts, allant de 340 euros pour une infection des voies urinaires 40,000 pour une bactériémie sévère en soins intensifs. Les estimations varient donc considérablement selon le site anatomique de l’infection, la nature du germe, la gestion de la maladie mais aussi en milieu hospitalier.
En appliquant une série de coûts supplémentaires en moyenne de 3.500 à 8.000 euros par 750.000 infections nosocomiales chaque année les dépenses s’élevaient à 2,4 à 6 milliards d’euros.
Ainsi, une diminution de 10% des infections conduirait à une économie de 240 à 600 millions d’euros, soit jusqu’à 6 fois plus que les efforts de prévention réalisés par les hôpitaux, qui s’élève à une centaine de millions d’euros.
Une politique de prévention commencent à porter leurs fruits
Plusieurs mesures depuis 1995 ont «produit des résultats significatifs en termes de prévalence des infections nosocomiales chez les patients hospitalisés. Ainsi, entre l’enquête de prévalence en 1996 et celle menée en 2001, ce taux a été ramené de 8,3% à 7,2% dans les hôpitaux universitaires et de 6,5% à 5% dans les hôpitaux. ‘
Un collectif de sensibilisation, mais l’insuffisance des informations
Un Ipsos (2006) a montré que 83% des personnes interrogées ont entendu parler des infections nosocomiales, et ces risques ‘sont la source de première préoccupation des Français dans le cadre d’une hospitalisation, avant les erreurs médicales.’ La peur de vis à vis des professionnels de santé, qui croient que la peur d’être anesthésié premier facteur serait leur anxiété.
‘Toutefois, le public ne se sentent pas suffisamment informés sur les causes et les conséquences des infections nosocomiales ..’ OPEP conclut que «l’effort dans la lutte contre les infections nosocomiales devrait, dans les années à venir, l’accent sur l’éducation des professionnels de la santé et la population dans son ensemble.’
Liens externes et références
DEFINITION DES INFECTIONS associés aux soins de mai 2007 (CTINILS, DIRECTION GENERALE DE LA SANTE ET GESTION DE L’HÔPITAL DE L’ORGANISATION DES SOINS DE [4]
Les Maladies nosocomiales
Ces conditions sont généralement bactérienne ou virale, qui
développer des cours de l’hospitalisation, un patient qui n’avait pas une telle infection en incubation à l’entrée de l’hôpital.
Ces maladies sont endémiques dans les hôpitaux, les cliniques, ou dans les réseaux de soins.
Souvent, en raison de l’insuffisance des précautions d’hygiène (se laver les mains assez d’infirmières d’un patient à l’autre, la stérilisation inadéquate des instruments ou des instruments pour plusieurs patients, des ciseaux, par exemple).
En outre, il est essentiel de prendre un bain ou une douche chaque entrée à l’hôpital et un nettoyage de son nez.
Staphylocoque est un germe qui se trouve sur la peau ou les orifices naturels, sans nécessairement provoqiuer de la pathologie et sont souvent trouvés dans ces infections nosocomiales
Toutefois, d’autres paramètres doivent être pris en compte:
La condition que le patient entre à l’hôpital
Le patient lui-même (son état de santé antérieur, l’âge, les procédures thérapeutiques qui nécessitent sa maladie, etc.).
Chez les sujets immunodéprimés, ces conditions peut être intimidant.
Il est parfois nécessaire d’évacuer complètement un service pour effectuer une désinfection complète.
Un germe extrêmement dangereux et souvent rencontrées dans ce type d’affection est le pyocyanique
(Voir Pseudomonas).
En outre, les graines semblent être typique de plus en plus résistantes aux antibiotiques connus.
Une nouvelle classe de médicaments sera commercialisé par Pharmacia: linézolide (Zyvox) semble être efficace contre les cocci à Gram positif.
Le mode d’action de cet antibiotique révèle l’absence de résistance croisée à tous les antibiotiques actuellement disponibles
Cet antibiotique peut être administré par voie orale ou intraveineuse et peut être utilisé chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou rénale modérée.
Pour obtenir l’adresse de l’association cliquez sur
ASSOCIATION DES Maladies nosocomiales