Les déstresse respiratoires aigues
Dans les détresses ventilatoires (voir plus haut), le poumon ne joue plus son rôle de soufflet qui fait entrer et ressortir l’air. Dans les détresses respiratoires, le soufflet fonctionne correctement. Ce sont les échanges entre l’air et lesang qui se font mal dans les poumons : l’oxygène passe mal vers les globules rouges, tandis que le gaz carbonique du sang s’épure mal. Les causes de détresse respiratoire sont très diverses : elles vont desinfectionspulmonairesaux intoxications par certains gaz et à l’œdème aigu du poumon d’origine cardiaque. Pour tenter de compenser ces troubles, le sujet,
qui est souvent un très jeune enfant ou au contraire une personne âgée, a inconsciemment tendance à ventiler plus rapidement. L’augmentation du taux de gaz carbonique dans le sang se traduit par une transpiration intense (les sueurs froides). Ces détresses respiratoires aiguës sont fréquentes chez des patients ayant depuis longtemps une maladie des poumons : les insuffisantes respiratoires chroniques. Devant une détresse respiratoire aiguë, il faut aider le sujet à s’asseoir et libérer ses voies aériennes de tout ce qui pourrait gêner la ventilation (dentier, par exemple). S’il est inconscient, s’il répond peu ou pas quand on l’appelle, il faut le mettre en position latérale de sécurité. Dans ce cas, on peut desserrer ses vêtements et sa ceinture. Puis, on doit s’abstenir de faire quoi que ce soit d’autre, et appeler un médecin en urgence (voir plus haut comment donner l’alerte²). Il est important de rester près de lui, et de surveiller la respiration et le pouls.
qui est souvent un très jeune enfant ou au contraire une personne âgée, a inconsciemment tendance à ventiler plus rapidement. L’augmentation du taux de gaz carbonique dans le sang se traduit par une transpiration intense (les sueurs froides). Ces détresses respiratoires aiguës sont fréquentes chez des patients ayant depuis longtemps une maladie des poumons : les insuffisantes respiratoires chroniques. Devant une détresse respiratoire aiguë, il faut aider le sujet à s’asseoir et libérer ses voies aériennes de tout ce qui pourrait gêner la ventilation (dentier, par exemple). S’il est inconscient, s’il répond peu ou pas quand on l’appelle, il faut le mettre en position latérale de sécurité. Dans ce cas, on peut desserrer ses vêtements et sa ceinture. Puis, on doit s’abstenir de faire quoi que ce soit d’autre, et appeler un médecin en urgence (voir plus haut comment donner l’alerte²). Il est important de rester près de lui, et de surveiller la respiration et le pouls.