L' interruption volontaire de la grossesse et son impact sur la fertilité.
Une étude suédoise faite en 2008 a révélé que 10% des femmes qui ont fait une IVG(interruption volontaire de la grossesse) souffriront de complications physiques immédiates diverses et que le taux de mortalité associé à l’avortement est de 40 décès pour 100 000 femmes faisant une IVG, soit un taux deux fois plus élevé à celui de l’accouchement.
2 à 3% des femmes en souffriront de perforation ou de lacération du col de l’utérus.
23% des patientes atteintes d’une infection par chlamydia au moment de l’avortement développeront cette maladie dans un délai de 4 semaines, Les femmes ayant subi un avortement ont 2à 3 fois plus de risques d’avoir un cancer du col de l’utérus, Celles qui ont eu deux ou plus avortements ont un risque 4,92 fois plus élevé.
L interruptions volontaire de la grossesse ne semble pas décliner malgré ces conclusions par contre la fréquence est en augmentation.
L’impact majeur qu’ aucun femme ne peut assumer c’est le risque élevé d’infertilité secondaire, en effet, malgré son recours a cet acte offensive, elle ne s’arrête de penser qu’un jour elle veut devenir maman .
Malheureusement les conséquences de IVG sur les voies génitales sont graves, les trompes qui peuvent se boucher, l’utérus qui peut se perforer, le col de l utérus qui va devenir béant. Tout cela sans tenir compte des risques d’hémorragies d’ infections ou de synéchies utérines.
Une réponse pour "L' interruption volontaire de la grossesse et son impact sur la fertilité."
C’est tout à fait normale d’avoir des risques lorsqu’on interrompe volontairement une grossesse.