Équilibre alimentaire
Il définit l’apport qualitatif et quantitatif de nutriments permettant d’optimiser le bon fonctionnement de l’organisme en vue de son entretien et de sa croissance. Il représente donc la balance nutritionnelle de l’ensemble des consommations, laquelle trouve son point d’équilibre entre le plaisir gustatif, les apports alimentaires et les resoins physiologiques.
Aucun aliment ne contient à lui seul tous les nutriments nécessaires à l’organisme. Un individu doit donc Piocher dans toutes les catégories alimentaires indispensables, et ce dans des proportions adaptées à son métabolisme . D’un point de vue qualitatif. un repas est ainsi jugé « équilibré » s’il est composé d’aliments issus des catégories suivantes : VPO (viande, poisson, œuf), légumes-fruits, produits céréa- Sers, produits laitiers, corps gras et boissons . Les produits sucrés, catégorie physiologiquement facultative, ne sont pas indispensables mais sont nécessaires pour assurer le plaisir. À ce titre, cette catégorie s’intégre aussi dans le schéma diététique. Les biscuits, par exemple, correspondent à un apport de produits céréaliers, de produits sucrés et de corps gras.
D’un point de vue quantitatif, les apports nutritionnels conseillés (ANC) préconisent un apport journalier énergétique constitué à 15 % de protéines, 50 % de glucides et 35 % de lipides. Cet apport est représenté schématiquement par une « pyramide alimentaire » qui indique, de la base vers la pointe, les proportions de ces catégories alimentaires les plus importantes vers les moins importantes. Ainsi, les boissons non énergétiques (eau, thé, tisane, café) occupent la base de cette pyramide. En remontant vers le sommet, on retrouve, dans l’ordre, les produits céréaliers, les fruits et légumes, les produits laitiers, les VPO, les matières grasses et, à la pointe, donc en faible consommation, les produits sucrés. La source énergétique de l’alcool (vin, bière, alcool fort) ne figure pas dans cette pyramide.
L’équilibre alimentaire peut s’effectuer sur un repas, une journée ou, d’un point de vue physiologique, une semaine. Ces apports ponctuels constituent autant de déséquilibres alimentaires ponctuels, dont la somme aboutit, plus qu’à l’équilibre , à l’harmonie alimentaire.
D’un point de vue quantitatif, les apports nutritionnels conseillés (ANC) préconisent un apport journalier énergétique constitué à 15 % de protéines, 50 % de glucides et 35 % de lipides. Cet apport est représenté schématiquement par une « pyramide alimentaire » qui indique, de la base vers la pointe, les proportions de ces catégories alimentaires les plus importantes vers les moins importantes. Ainsi, les boissons non énergétiques (eau, thé, tisane, café) occupent la base de cette pyramide. En remontant vers le sommet, on retrouve, dans l’ordre, les produits céréaliers, les fruits et légumes, les produits laitiers, les VPO, les matières grasses et, à la pointe, donc en faible consommation, les produits sucrés. La source énergétique de l’alcool (vin, bière, alcool fort) ne figure pas dans cette pyramide.
L’équilibre alimentaire peut s’effectuer sur un repas, une journée ou, d’un point de vue physiologique, une semaine. Ces apports ponctuels constituent autant de déséquilibres alimentaires ponctuels, dont la somme aboutit, plus qu’à l’équilibre , à l’harmonie alimentaire.